Customize this title in frenchJoe Biden va annoncer un projet de port temporaire sur la côte de Gaza pour accroître le flux d’aide humanitaire

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

États-Unis Président Joe Biden annoncera un plan dans son discours sur l’état de l’Union pour les États-Unis militaire pour aider à établir un port temporaire sur le Gaza côte, augmentant le flux d’aide humanitaire pour le territoire assiégé pendant la Guerre Israël-Hamasselon des responsables de l’administration.

Les responsables, qui se sont exprimés sous couvert d’anonymat pour prévisualiser l’annonce de jeudi soir (vendredi AEDT), ont déclaré que l’opération ne nécessiterait pas que les troupes américaines soient sur le terrain pour construire la jetée destinée à permettre davantage d’expéditions de nourriture, de médicaments et d’autres articles essentiels.

Les responsables n’ont pas fourni de détails sur la façon dont la jetée serait construite. L’un d’entre eux a souligné que l’armée américaine possède des « capacités uniques » et peut agir « uniquement à partir de l’étranger ».

Le président Joe Biden arrive à bord d’Air Force One, le mardi 5 mars 2024, à Hagerstown, Maryland. (Photo AP/Alex Brandon)

Cette décision ajoute une dimension supplémentaire à la dynamique extraordinaire qui a émergé lorsque les États-Unis ont dû contourner Israël, leur principal allié au Moyen-Orient, et trouver des moyens d’acheminer l’aide vers Gaza, notamment par le biais de largages aériens.

Biden a évoqué pour la première fois la semaine dernière l’idée d’établir un « corridor maritime », affirmant que les États-Unis travaillaient avec leurs alliés sur la manière dont ils pourraient fournir une assistance par voie maritime à ceux de Gaza.

Le général Erik Kurilla, chef du commandement central américain, a déclaré à la commission sénatoriale des forces armées qu’il avait informé les responsables d’une telle option maritime.

Jeudi également, les États-Unis ont procédé à un troisième largage aérien dans la partie nord de Gaza, où il n’y a aucune présence israélienne.

Kurilla a déclaré que le commandement central avait proposé des options pour augmenter le nombre de camions acheminant l’aide vers ces zones.

Cinq mois de combats entre Israël et le Hamas ont laissé en ruines une grande partie de la bande de Gaza dirigée par le Hamas et conduit à une catastrophe humanitaire encore plus grave. De nombreux Palestiniens, notamment dans le nord dévasté, se battent pour survivre.

Les Palestiniens pleurent leurs proches tués lors des bombardements israéliens sur la bande de Gaza, devant la morgue de l’hôpital Al Aqsa à Deir al Balah, dans la bande de Gaza, le jeudi 7 mars 2024. (Photo AP/Adel Hana)

Les groupes humanitaires ont déclaré qu’il était devenu presque impossible d’acheminer des fournitures dans la majeure partie de Gaza en raison de la difficulté de coordination avec l’armée israélienne, des hostilités en cours et de l’effondrement de l’ordre public.

Le Hamas a déclaré jeudi que sa délégation avait quitté le Caire et que les négociations sur un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages reprendraient la semaine prochaine, ce qui rend extrêmement improbable que des médiateurs parviendront à un accord avant le mois sacré musulman du Ramadan.

Les médiateurs avaient considéré le Ramadan comme une date limite informelle, car ce mois de jeûne de l’aube au crépuscule est souvent le théâtre de violences israélo-palestiniennes liées à l’accès à un lieu saint majeur de Jérusalem. La guerre met déjà toute la région sous tension, les groupes soutenus par l’Iran échangeant des tirs avec Israël et les États-Unis.

Des responsables égyptiens avaient déclaré plus tôt que les négociations étaient dans une impasse suite à la demande du Hamas d’un processus par étapes aboutissant à la fin de la guerre. Mais ils n’excluent pas un accord avant le Ramadan, qui devrait commencer dimanche.

Des gens passent devant une clôture avec des photographies d’Israéliens retenus en otage dans la bande de Gaza par le groupe militant du Hamas, à Ramat Gan, Israël, le jeudi 7 mars 2024. (Photo AP/Oded Balilty)

Le porte-parole du Hamas, Jihad Taha, a déclaré qu’Israël « refuse de s’engager et de donner des garanties concernant le cessez-le-feu, le retour des personnes déplacées et le retrait des zones de son incursion ».

Mais il a indiqué que les pourparlers étaient toujours en cours et qu’ils reprendraient la semaine prochaine. Il n’y a eu aucun commentaire immédiat de la part d’Israël.

Source link -57