Customize this title in frenchLe G7 veut mettre fin à la pollution plastique d’ici 2040

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Statut : 16/04/2023 13h12

Les ministres de l’Environnement du G7 se sont mis d’accord sur un calendrier plus précoce dans la lutte contre les déchets plastiques. Il existe également des plans ambitieux pour les énergies renouvelables – mais dans certains cas sans calendrier concret.

Les ministres de l’environnement du groupe G7 veulent mettre fin à la pollution plastique d’ici 2040. Ils se sont mis d’accord là-dessus après deux jours de consultations à Sapporo, au Japon. Avec cette décision, le cycle du G7 va encore plus loin qu’auparavant, car en 2019, les pays du G20 s’étaient mis d’accord sur la date de fin de 2050. Les plans exacts du G7 pour atteindre le nouvel objectif n’ont pas été divulgués.

Les ministres du climat du G7 prévoient une expansion plus rapide des énergies renouvelables

tagesschau24 13h00, 16 avril 2023

« Le plastique bon marché dans les produits jetables est devenu de plus en plus dominant dans les pays industrialisés », a déclaré la ministre fédérale de l’Environnement Steffi Lemke (Verts) dans un communiqué. « Il est donc particulièrement important que le G7 milite maintenant pour une fin rapide des déchets plastiques. » D’ici fin 2024, l’accord juridiquement contraignant pour réduire les déchets plastiques devrait être finalisé.

La science estime qu’entre 4,8 et 12,7 millions de tonnes de déchets plastiques finissent dans les océans chaque année. C’est à peu près l’équivalent d’un chargement de camion par minute. Selon les informations de la fondation environnementale WWF, des calculs plus récents – qui incluent lacs, rivières et mers – supposent même que 19 à 23 millions de tonnes de déchets plastiques finissent chaque année dans ces écosystèmes.

Des objectifs concrets pour l’expansion de l’énergie éolienne et solaire

Un autre sujet de la réunion était l’approvisionnement énergétique – ici, les ministres se sont fixés des objectifs plus ambitieux pour l’expansion des énergies renouvelables : pour la première fois, les ministres du G7 ont fixé des objectifs concrets pour l’expansion de l’énergie solaire et de l’énergie éolienne en haute mer, comme le document final montre. Selon celle-ci, environ 150 gigawatts de capacité éolienne offshore doivent être ajoutés d’ici 2030, ce qui correspond à la capacité de 150 centrales nucléaires. De plus, 1000 gigawatts supplémentaires de photovoltaïque doivent être installés. L’Allemagne a déjà décidé de construire environ 150 gigawatts de capacité solaire et 22 gigawatts de capacité offshore d’ici 2030.

Pas de calendrier pour la suppression des centrales au charbon

Les ministres du G7 se sont engagés à accélérer l’élimination des combustibles fossiles, mais n’ont pas fixé de calendrier pour la suppression progressive des centrales électriques au charbon à l’issue des pourparlers de deux jours à Sapporo. À la lumière de la crise énergétique mondiale actuelle et de la dislocation économique, « nous réaffirmons notre engagement à accélérer la transition vers une énergie propre pour atteindre des émissions nettes de gaz à effet de serre nulles d’ici 2050 au plus tard », lit-on dans la déclaration de clôture de 36 pages de la réunion. Les ministres ont reconnu l’importance de trouver des sources d’énergie efficaces, abordables et diversifiées, soulignant « l’engagement à mettre en œuvre des actions immédiates, à court et à moyen terme au cours de cette décennie critique ».

Un calendrier pour la suppression progressive des centrales électriques au charbon a longtemps fait l’objet de débats. Le Japon, par exemple, dépend du charbon pour près d’un tiers de sa production d’électricité et promeut également l’utilisation du charbon dit propre, qui utilise des technologies de capture du carbone pour produire de l’hydrogène, qui, lorsqu’il est utilisé comme carburant, ne produit que de l’eau. Le document publié réitère la nécessité de réduire de toute urgence les émissions de carbone et de parvenir à un « secteur énergétique largement décarboné » d’ici 2035. L’expression « principalement » laisse place à l’utilisation continue des combustibles fossiles. Les ministres ont toutefois convenu que la priorité devrait être donnée à l’élimination progressive de la production d’électricité au charbon « sans relâche », c’est-à-dire les centrales électriques qui n’utilisent pas de mécanismes pour capter les émissions afin d’empêcher qu’elles ne s’échappent dans l’atmosphère.

Le G7, une association informelle des sept principaux pays industrialisés de l’Occident, représente 40 % de l’activité économique mondiale et un quart des émissions mondiales de carbone. Outre l’Allemagne, le G7 comprend également la France, l’Italie, le Japon, le Canada, les États-Unis et la Grande-Bretagne. Le Japon assure la présidence du G7 cette année.

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