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Le ministère fédéral des Finances a présenté le projet de discussion d’une loi pour la mise en œuvre de la directive visant à assurer une imposition minimale globale pour les groupes de sociétés multinationales et les grands groupes nationaux dans l’Union.
Le brouillon est un sensationnel de 242 pages. La loi elle-même comprend 89 paragraphes. Ceux-ci devraient contenir tous les éléments nécessaires à l’application des réglementations fiscales ultérieures à partir du 31 décembre 2023 dans une nouvelle loi sur l’impôt minimum. Cela signifie que la directive européenne sur la mise en œuvre de l’impôt minimum global sera transposée dans le droit national. Cela devrait arriver d’ici la fin de 2023 et entrer en vigueur en 2024.
Pression temporelle de Bruxelles
Non seulement la portée, mais aussi l’énorme impact des normes très complexes poseront des défis aux entreprises, mais aussi à l’administration financière. Un potentiel perturbateur supplémentaire découle du fait que les effets correspondants n’existent pas encore dans le droit de l’impôt sur les sociétés.
Il sera intéressant de voir si d’autres options de simplification peuvent être trouvées dans le processus législatif. Pour le moment, il semble que tout soit subordonné à la pression du temps de Bruxelles et des réglementations aussi simples et pratiques n’aient aucune chance. La pression du temps n’est généralement pas un bon conseiller.
De plus, on parle toujours de réduire la bureaucratie. Côté design, c’est l’inverse.
Le professeur Michael Stahlschmidt est rédacteur en chef de la revue spécialisée « Der Steuerberater » et chef du département de droit fiscal de la revue spécialisée « Betriebsberater ». Cet article est issu de la coopération entre le Handelsblatt et la revue spécialisée « Der Steuerberater ».
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