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Le chef de la justice iranienne aurait averti de poursuivre les femmes qui apparaissent en public sans le hijab « sans pitié » alors que de plus en plus de femmes continuent de défier le code vestimentaire obligatoire du pays, selon les médias iraniens cités par Reuters.
Gholamhossein Mohseni Ejei a déclaré : « Le dévoilement équivaut à une inimitié avec (nos) valeurs. Ceux « qui commettent de tels actes anormaux seront punis » et seront « poursuivis sans pitié », a-t-il ajouté, sans détailler les peines.
L’avertissement reflète la loi gouvernementale obligatoire sur le hijab renforcée par le ministère iranien de l’Intérieur.
Le hijab est « l’un des fondements civilisationnels de la nation iranienne » et « l’un des principes pratiques de la République islamique », indique le communiqué du ministère de l’Intérieur, affirmant qu’il n’y aurait ni « recul ni tolérance » sur la question.
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Les responsables de l’application des lois étaient « obligés de signaler aux autorités judiciaires les crimes évidents et tout type d’anomalie contraire à la loi religieuse et se produisant en public », a déclaré le chef de la justice iranienne.
Après la mort de Mahsa Amini, 22 ans, alors qu’elle était détenue par la police des mœurs en septembre de l’année dernière, plusieurs femmes iraniennes ont choisi de ne pas porter le hijab en public. Mahsa Amini a été détenue pour avoir prétendument désobéi à la loi sur le hijab.
Depuis, les réseaux sociaux sont inondés de vidéos de femmes défiant la police des mœurs sans porter de hijab. Les femmes en Iran sont tenues de se couvrir les cheveux avec le hijab. Les infractions ont donné lieu à des condamnations publiques, des sanctions ou des arrestations.
(Avec les contributions des agences)