Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLa Commission indépendante de la Nouvelle-Galles du Sud contre la corruption (ICAC) a trouvé Berejiklian et Maguire – avec qui elle entretenait une relation secrète – engagées dans une « conduite corrompue grave ».L’ICAC remet son rapport complet aux deux anciens politiciens de la Coalition. (9Nouvelles)Voici la déclaration complète de l’ICAC résumant leurs conclusions.L’ICAC trouve l’ancien premier ministre puis membre de Wagga Wagga corrompuLa NSW Independent Commission Against Corruption (ICAC) a constaté que l’ancien premier ministre de NSW, Gladys Berejiklian, et l’ancien député de Wagga Wagga, Daryl Maguire, se sont livrés à de graves actes de corruption.Dans son rapport rendu public aujourd’hui, Enquête sur la conduite de l’ancien député de Wagga Wagga, puis du premier ministre et d’autres (Opération Keppel), la Commission constate qu’entre 2012 et août 2018, M. Maguire a fait un usage abusif de sa fonction, et des ressources auxquelles il avait accès en tant que député, au profit de G8wayInternational Pty Ltd, une société dont il était en substance un administrateur, et dont les bénéfices il avait un arrangement à partager avec d’autres. M. Maguire a également omis de divulguer son intérêt et sa position dans G8wayInternational et/ou toutes les sources de ses revenus, comme il était tenu de le faire en vertu du règlement de 1983 sur la Constitution (divulgation par les membres).Il a également abusé de son rôle de député pour faire avancer ses propres intérêts financiers, ainsi que les intérêts commerciaux de ses associés, dans le cadre d’un stratagème d’immigration dont il a fait la promotion auprès de ses électeurs et d’autres personnes liées à sa circonscription électorale. De plus, en tant que député et président du NSW Parliament Asia Pacific Friendship Group, M. Maguire a abusé de ces rôles pour faire avancer ses propres intérêts financiers et les intérêts commerciaux de ses associés. D’autres abus de sa fonction de député comprenaient la tentative de faire avancer ses propres intérêts financiers privés et / ou ceux de personnes qui lui étaient associées dans le cadre de la vente et / ou du développement de terrains en Nouvelle-Galles du Sud.M. Maguire était un défenseur enthousiaste des subventions de fonds publics pour l’Australian Clay Target Association (ACTA) et le Riverina Conservatorium of Music (« le RCM »), deux institutions basées à Wagga Wagga. Mme Berejiklian avait présidé et/ou été membre des réunions du Comité d’examen des dépenses (ERC) qui avaient approuvé les subventions, qui comprenaient 5,5 millions de dollars pour l’ACTA et 10 millions de dollars pour la rénovation et la réaffectation d’un nouveau site appartenant au gouvernement afin de le rendre plus adapté. à des fins spécifiques pour le MRC (RCM Stage 1). Dans le même temps, M. Maguire et Mme Berejiklian entretenaient une relation personnelle étroite non divulguée.La Commission constate que Mme Berejiklian s’est livrée à des actes de corruption graves en abusant de la confiance du public en 2016 et 2017 en exerçant ses fonctions officielles en rapport avec le financement promis et/ou accordé à l’ACTA, sans divulguer sa relation personnelle étroite avec M. Maguire, lorsqu’elle était en une situation de conflit d’intérêts entre sa fonction publique et son intérêt privé, qui pourrait objectivement avoir le potentiel d’influencer l’exercice de sa fonction publique. La Commission constate également qu’au cours de la même période, Mme Berejiklian a exercé partiellement ses fonctions officielles, dans le cadre des financements promis à l’ACTA, influencées par l’existence de ses relations personnelles étroites avec M. Maguire.La Commission constate que Mme Berejiklian a pris un certain nombre de mesures concernant la proposition d’ACTA alors qu’elle savait que M. Maguire en était le principal promoteur. Il s’agissait notamment, lorsqu’elle était trésorière, de faire inscrire la proposition à l’ordre du jour et de la soutenir lors de la réunion de l’ERC le 14 décembre 2016 et lorsqu’elle était première ministre, obliger le personnel de son bureau à prendre des mesures pour suivre les progrès. de la proposition ACTA suite à la décision ERC ACTA. Cela comprenait la communication d’une demande visant à ce que le calcul initial du rapport avantages-coûts (RAC) de 0,88, par le Département du Premier ministre et l’Unité d’évaluation des investissements du Cabinet, soit réexaminé. Cela l’a finalement conduit à obtenir un BCR satisfaisant pour qu’Infrastructure NSW approuve son financement.En 2018, Mme Berejiklian a également exercé partiellement ses fonctions officielles, influencée par l’existence de sa relation personnelle étroite avec M. Maguire, ou par une volonté de sa part de maintenir ou de faire progresser cette relation, dans le cadre d’un financement promis et accordé à une proposition de construire une salle de récital pour le RCM (RCM Stage 2). La Commission estime qu’elle a abusé de la confiance du public en exerçant ses fonctions officielles en relation avec des décisions concernant la proposition de MRC dont elle savait qu’elle avait été avancée par M. Maguire.Sa conduite concernant les propositions de la MRC comprenait sa participation aux décisions lors des réunions de l’ERC en avril 2018 concernant l’étape 1 de la proposition de la MRC de transférer des terres pour le conservatoire, et en ce qui concerne le financement accordé à la MRC, sans déclarer de conflit d’intérêts comme l’exige la Code de conduite ministériel de NSW (« le code ministériel »). Mme Berejiklian a également décidé de faire une réservation de financement de 20 millions de dollars pour l’étape 2 de la proposition et a approuvé la lettre organisant cette réservation de financement, sans divulguer sa relation personnelle étroite avec M. Maguire. Cela signifiait que les fonds réservés, qui impliquaient une somme importante de fonds publics, ne pouvaient pas être dépensés pour d’autres projets jusqu’à ce qu’ils soient débloqués.C’était à un moment où elle se trouvait dans une situation de conflit d’intérêts entre sa fonction publique et son intérêt privé à maintenir ou à faire progresser sa relation personnelle étroite avec M. Maguire, ce qui aurait objectivement pu avoir le potentiel d’influencer l’exercice de ses fonctions publiques. devoir. Mme Berejiklian a fait valoir à la Commission qu’en tant que premier ministre, le code ministériel ne s’appliquait pas à elle. La Commission rejette cet argument et conclut que Mme Berejiklian a violé substantiellement le code ministériel en manquant à son devoir d’agir honnêtement et dans l’intérêt public dans sa conduite concernant la proposition de la MRC. La Commission rejette en outre l’argument de Mme Berejiklian selon lequel sa relation personnelle étroite avec M. Maguire ne saurait constituer un intérêt privé au sens du code ministériel.La Commission conclut également que Mme Berejiklian s’est livrée à des actes de corruption graves en refusant de s’acquitter de son obligation, en vertu de l’article 11 de la loi ICAC, de notifier à la Commission ses soupçons selon lesquels M. Maguire s’était livré à des activités qui concernaient ou auraient pu concerner des actes de corruption. Au moment où Mme Berejiklian n’a pas signalé ses soupçons à la Commission, elle était la première ministre de l’État. Le rapport note que Mme Berejiklian devait savoir qu’elle n’avait pas le droit de refuser d’exercer ses fonctions officielles pour son propre bénéfice privé ou pour le bénéfice de M. Maguire. Le fait de dissimuler un comportement qu’elle soupçonnait de concerner ou d’avoir pu concerner un comportement de corruption de la part de M. Maguire, un autre membre du Parlement, à la fois pour se protéger et pour le protéger de l’exercice par la Commission de ses pouvoirs d’enquête, constituait une faute grave. Cela a sapé les normes élevées de probité que l’on cherche à atteindre par le code ministériel que, en tant que Premier ministre, Mme Berejiklian a largement administré.La Commission sollicite l’avis du directeur des poursuites pénales (DPP) sur l’opportunité d’engager des poursuites. Le DPP détermine si des accusations criminelles peuvent être portées et mène toutes les poursuites. La Commission est d’avis qu’il faudrait envisager d’obtenir l’avis du DPP sur la poursuite de M. Maguire, du directeur de G8wayInternational Phillip Elliott et de Maggie Wang, une associée de M. Maguire, pour diverses infractions. La Commission n’est pas d’avis qu’il faille envisager d’obtenir l’avis du DPP concernant la poursuite de Mme Berejiklian pour quelque infraction que ce soit.La Commission note qu’en raison de l’incapacité à signaler rapidement les actes de corruption présumés identifiés dans l’opération Keppel, l’enquête a été ouverte grâce au travail des agents de l’ICAC. Cela a obligé la Commission à exercer tous ses pouvoirs coercitifs au fur et à mesure que les différents…
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