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Twickenham (Royaume-Uni) (AFP) – L’Irlande et l’Écosse sont restées les seules équipes des Six Nations 2023 encore avec une chance de Grand Chelem après des victoires impressionnantes contre la France et le Pays de Galles respectivement, tandis que l’Angleterre a enregistré une première victoire sous l’entraîneur Steve Borthwick.
L’AFP revient sur trois choses que nous avons apprises de la deuxième manche du Championnat.
Keenan montre sa classe pour l’Irlande
On croit depuis longtemps que si vous arrêtez l’ouvreur Johnny Sexton, vous arrêtez l’attaque de l’Irlande.
Mais la nation la mieux classée au monde a maintenant des menaces dans sa division arrière et celles-ci ont été exposées lors d’une superbe victoire 32-19 contre la France, championne du Grand Chelem, à Dublin samedi.
Une première mi-temps sensationnelle a été considérée par de nombreux observateurs comme l’une des meilleures 40 minutes d’ouverture de l’histoire du test rugby.
Cela a pris vie lorsque, après un beau jeu du n ° 8 Caelan Doris et du pilier Finlay Bealham, l’arrière latéral irlandais Hugo Keenan a couru une ligne intelligemment retardée derrière quelques coureurs leurres pour ouvrir le score avec un essai brillamment conçu.
Keenan était une épine constante dans l’équipe française, parcourant plus de 200 mètres dans le match, les défenseurs des Bleus devant s’inquiéter de ses incursions profondes dans un match où le vétéran Sexton a quitté le terrain à la 47e minute.
L’Ecossais Fagerson fait les chantiers difficiles
Finn Russell a fait la une des journaux pour avoir orchestré le record écossais de 35-7 contre le Pays de Galles à Murrayfield, le demi d’ouverture tirant les ficelles avec une série de superbes coups de pied et de passes qui ont été à l’origine de plusieurs des cinq essais des hôtes.
Mais Russell a pu occuper le devant de la scène à Édimbourg grâce à un autre effort extrêmement engagé du peloton écossais.
Comme lors de la victoire de la semaine dernière contre l’Angleterre, ils ont fourni un ballon de qualité à leur meneur de jeu tout en contribuant à un effort défensif solide qui a limité le Pays de Galles à un seul essai.
Matt Fagerson a fait sentir sa présence à la panne et dans le coup de pied arrêté avant de conclure un bel affichage individuel, marquant le dernier essai de l’Écosse alors qu’il était bien positionné pour profiter de l’excellente passe flottante de Russell.
L’Anglais Willis boucle la boucle
Le flanker rappelé Jack Willis a ouvert la voie à l’Angleterre lors d’une victoire 31-14 contre l’Italie avec une belle performance globale.
Non seulement il a marqué le premier essai, mais l’attaquant de la ligne arrière a joué le rôle principal en défense, réalisant 20 plaqués au cours des 53 minutes où il était sur le terrain.
Lors du match correspondant de 2021, Willis est sorti du banc pour marquer un essai contre l’Italie, pour subir une grave blessure au genou droit quelques minutes plus tard qui l’a tenu à l’écart pendant un an.
Cette saison, Willis a dû faire face au bouleversement de l’effondrement financier du club Wasps, qui a conduit à un transfert vers le géant français Toulouse.
Aucun de ces bagages émotionnels n’était évident dans la performance de Willis dimanche, même si cela pesait lourdement sur son esprit.
« Cela faisait à peu près deux ans cette semaine que je me suis fait un genou ici contre l’Italie, donc c’était un peu émouvant avant le match », a-t-il déclaré aux journalistes.
« Mais vous devez vous concentrer de semaine en semaine parce que si vous essayez de penser à la situation dans son ensemble, cela vous déprime un peu. J’ai beaucoup de chance d’être dans un grand club qui s’occupe de moi à Toulouse. »
Le joueur de 26 ans a ajouté : « L’émotion a un peu pris le dessus après l’essai. Il y avait beaucoup d’émotion que je ressens à jouer avec un maillot anglais, et j’ai levé les yeux et j’ai vu la foule. »
© 2023 AFP
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