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Un groupe de défense des animaux poursuit l’opérateur ferroviaire national français SNCF pour avoir autorisé un train à partir alors que le personnel savait qu’un Chat de compagnie était sur les rails.
Le chat a ensuite été écrasé et est mort.
L’incident, survenu à la gare Montparnasse en Paris plus tôt ce mois-ci, a laissé les propriétaires de l’animal sous le choc.
« C’est difficile de s’en remettre », a déclaré la propriétaire du chat, Georgia, à 30 Millions d’Amis (30 Millions d’Amis), la fondation poursuivant l’opérateur ferroviaire.
Comment un chat domestique a-t-il pu se faire écraser par un train parisien ?
Georgia voyageait avec sa fille Melaïna, 15 ans, lorsque leur chat Neko s’est échappé de son sac de transport. Neko s’est alors réfugié sous le TGV former attendant à la gare.
Ses propriétaires ont supplié les agents de retarder le départ du train, mais on leur aurait dit « que ce n’est pas leur problème, que ce n’est qu’un chat et que nous aurions dû le tenir en laisse ».
Animaux domestiques sont autorisés à accompagner leurs propriétaires dans les trains SNCF soit dans un transporteur, soit en laisse, à condition que les autres voyageurs ne s’y opposent pas. À l’exception des chiens-guides, les animaux domestiques doivent être munis de billets de train, qui coûtent 7 €.
Un autre membre du personnel s’est efforcé d’aider les propriétaires, mais après 20 minutes de négociations et de tentatives pour ramener le chat en lieu sûr, le former aurait quitté la gare, tuant Neko qui était toujours sur les rails.
« J’ai vu Neko courir sous le train et… puis nous l’avons vu coupé en deux. C’était tellement violent », a déclaré Melaïna à 30 Millions d’Amis.
Les propriétaires se seraient vu offrir un billet gratuit à Bordeaux en compensation de leur animal mort.
Que dit la SNCF de l’incident ?
Contactée par 30 Millions d’Amis, la SNCF pointe les dangers d’une descente en direct former pistes, qui sont électrifiées.
L’opérateur ferroviaire a déclaré qu’il « regrette ce triste incident » mais a ajouté qu' »il est strictement interdit de descendre sur les voies, ce qui mettrait en danger la vie des deux voyageurs ou de nos agents ».
Les droits des animaux Le groupe dépose une plainte contre la SNCF pour « abus graves et actes de cruauté ayant entraîné la mort d’un animal », passible d’une peine pouvant aller d’une amende de 75 000 € à une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à cinq ans.
La SNCF a été contactée pour de plus amples commentaires.
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