Customize this title in french Les États-Unis et l’UE intensifient la pression sur Israël à propos du cessez-le-feu à Gaza ; Vote à l’ONU prévu

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Le Conseil de sécurité devrait voter vendredi sur la résolution de cessez-le-feu proposée par les États-Unis et les négociations se poursuivront au Qatar.

Le Conseil de sécurité des Nations Unies devrait voter dès vendredi un projet de résolution américain appelant à un cessez-le-feu à Gaza alors que l’Union européenne appelle à une « pause humanitaire », ajoutant à la pression sur Israël pour qu’il mette fin à son accord de cinq mois. -long bombardement du territoire palestinien.

Washington, l’allié le plus fidèle d’Israël, a progressivement durci son ton après son soutien massif au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et à sa guerre à Gaza.

Le dernier projet de résolution marque un nouveau durcissement de l’approche de Washington dans un contexte de condamnation mondiale croissante d’une guerre dans laquelle quelque 32 000 Palestiniens ont été tués.

Les experts de l’ONU ont également mis en garde contre une famine imminente résultant du blocus israélien.

Le projet de texte américain décrit un « cessez-le-feu immédiat et durable » comme un impératif pour protéger les civils et permettre l’acheminement de l’aide humanitaire. Un cessez-le-feu serait également conditionné à la libération de certains des derniers prisonniers capturés par le Hamas lors de son attaque contre Israël le 7 octobre.

Auparavant, les États-Unis ont évité de faire référence à un cessez-le-feu et ont opposé leur veto aux résolutions de l’ONU qui en réclamaient un, la dernière en février.

Annonçant le vote de vendredi, l’ambassadrice américaine auprès de l’ONU, Linda Thomas Greenfield, a déclaré que les diplomates américains travaillaient sur une résolution qui « soutiendrait sans équivoque les efforts diplomatiques en cours visant à garantir un cessez-le-feu immédiat à Gaza dans le cadre d’un accord qui permettrait la libération des otages. et permettre une augmentation de l’aide humanitaire ».

Le langage utilisé dans le projet américain a suscité un certain inconfort, et une deuxième résolution a également été rédigée avec un langage plus fort exigeant un cessez-le-feu immédiat. Il bénéficie du soutien de huit des dix membres non permanents sur un organe de quinze membres.

Les mesures diplomatiques prises à l’ONU interviennent alors que les dirigeants de l’UE réunis à Bruxelles appellent à une « pause humanitaire immédiate menant à un cessez-le-feu durable » à Gaza.

Ils ont également appelé à « la libération inconditionnelle de tous les otages » et ont exhorté Israël à ne pas poursuivre son projet d’offensive terrestre majeure dans la ville la plus méridionale de Rafah, où plus d’un million de Palestiniens ont cherché refuge pour fuir la guerre.

L’UE a déclaré qu’une telle attaque « aggraverait la situation humanitaire déjà catastrophique et empêcherait la fourniture urgente des services de base et de l’aide humanitaire ».

Les appels au cessez-le-feu interviennent alors que les négociations de trêve, sous la médiation des États-Unis, du Qatar et de l’Égypte, doivent se poursuivre à Doha. Un communiqué du bureau de Netanyahu a indiqué que le chef des services de renseignement israéliens, David Barnea, se rendrait vendredi au Qatar pour rencontrer les médiateurs.

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken, qui en est à son sixième voyage dans la région depuis le début du conflit, a déclaré qu’il pensait qu’il pourrait y avoir un accord entre Israël et le Hamas, qui contrôle Gaza et a tué plus de 1 000 personnes lors de son attaque contre Israël en octobre.

Les négociations au Qatar se sont concentrées sur une trêve d’environ six semaines qui permettrait la libération de 40 captifs israéliens en échange de centaines de Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes.

« Les négociateurs continuent de travailler. Les écarts se réduisent et nous continuons de faire pression en faveur d’un accord à Doha. Il y a encore du travail difficile pour y arriver. Mais je continue de croire que c’est possible », a déclaré Blinken.

Le principal obstacle réside dans le fait que le Hamas affirme qu’il ne libérera les prisonniers que dans le cadre d’un accord qui mettrait fin à la guerre, tandis qu’Israël affirme qu’il ne discutera que d’une pause temporaire.

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