Customize this title in french Que faire si une vache attaque ? J’ai enfin trouvé la réponse | Adrien Chilis

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MCela fait toujours que j’emmène ma fille faire une promenade, et tout se passe bien jusqu’à ce que le sentier nous fasse traverser un champ de vaches. Elle dit qu’elle a peur ; Je dis qu’elle est idiote. Elle se met à courir ; Je ne sais pas. Et les vaches n’y prêtent pas une attention aveugle.

Je pensais que toutes les rencontres avec du bétail ressemblaient un peu à cela, mais il s’avère que parfois, très rarement, les choses tournent mal et que quelqu’un est gravement blessé, voire tué. J’ai fait un reportage à ce sujet la semaine dernière dans mon émission de radio, même si je ne voulais vraiment pas effrayer les gens alors que les risques de préjudice sont sûrement plus grands au cours de votre voyage. dans la campagne que lors de n’importe quelle promenade que vous pourriez faire une fois sur place.

Bien sûr, rien de tout cela n’est une grande consolation si vous êtes piétiné par une vache en colère. Dans l’intérêt d’un service public de radiodiffusion responsable, j’ai cherché à me concentrer sur des conseils utiles concernant a) comment éviter d’ennuyer une vache au point de la faire courir vers vous, et b) que faire si a) ce n’est pas le cas. travaillé. Je suis désolé de vous annoncer que je n’ai jamais vraiment réussi sur aucun de ces points. Certains pensent qu’avoir un chien avec vous pourrait provoquer des ennuis et que la présence de veaux, assez logiquement, rend leurs mamans nerveuses/grincheuses. Mais cela semble largement anecdotique et manifestement peu concluant.

Quant à savoir quoi faire si le pire arrive, j’étais encore moins clair à la fin qu’au début. Un expert a suggéré qu’il est important de déterminer si la vache qui avance est en colère ou simplement curieuse. Ses oreilles étant à « 10 contre deux » sont apparemment une indication du premier. Tout cela est très intéressant, mais d’ici là, je vais fuir. Ou, selon des conseils contradictoires, rester immobile. Ou me rendre grand. Ou petit. Ou en le glissant avec des branches. Ou non.

Le résultat final est que la prochaine fois que je partagerai un champ avec des vaches, la possibilité d’un piétinement ressemblera moins à une chance de 1 000 contre un qu’à une chance de 50-50. Pour clarifier ma pensée, j’ai été en contact avec une de mes amies productrices laitières appelée Alison. Elle dit ne vous inquiétez pas, cela n’arrivera jamais, mais gardez les chiens tranquilles et tenus en laisse. Et si une vache s’approche trop près, un coup ferme sur le nez avec une branche devrait suffire. Et essayez de ne pas courir.

Voilà donc ma politique désormais. Si ça ne marche pas, j’enlève mon manteau, je l’agite et je commence à crier en espagnol. Et si ça ne marche pas, je devrai simplement reconnaître que c’est mon jour de malchance.

Adrian Chiles est animateur, écrivain et chroniqueur du Guardian

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