Customize this title in french S’approprier la musique noire ? « Rhapsody in Blue » est apprécié de tous

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Pour l’éditeur: Merci à Gustavo Arellano pour l’hommage à George Gershwin et à son chef-d’œuvre « désordonné », « Rhapsody in Blue ». Malgré les critiques de cette œuvre, les interprètes joueront et le public applaudira cette fusion du jazz et du romantisme classique dans 100 ans.

Aux snobs qui disent que c’est lâche, non structuré et aléatoire, les admirateurs de Gershwin et de sa musique disent ceci : on s’en fiche. « Rhapsody » nous émeut.

Aux critiques culturels qui prétendent que Gershwin s’est « approprié » la musique noire, voici ce que les auditeurs et interprètes noirs disent depuis des années : Quelle absurdité totale.

Gershwin a toujours crédité ses sources d’inspiration. Ses chansons « Rhapsody » et son grand opéra « Porgy and Bess » sont tous des hommages à une musique issue de racines culturelles spécifiques, mais sont des cadeaux à l’humanité à chérir et à recevoir comme sources d’inspiration. Aucun groupe ne « possède » ses créations artistiques et ne détient la prétention exclusive de les comprendre ou de bien les exécuter.

Ella Fitzgerald, l’une des grandes chanteuses du XXe siècle, a enregistré toutes les chansons de Gershwin. Elle était noire, et moi aussi, unis dans notre amour pour un grand compositeur qui a brisé les barrières et touché nos cœurs.

Sidney Morrison, Los Angeles

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Pour l’éditeur: Arellano a bien raison d’attirer l’attention sur le très américain « Rhapsody in Blue ». Je faisais partie du public qui a trouvé la pièce en joie lorsque Leonard Bernstein l’a dirigée au piano lors d’une belle nuit d’été au stade Lewisohn de New York, au début des années 1960.

À la fois classique et jazz, c’est un morceau facile à apprécier pour tout le monde, même à fredonner ou à siffler.

On se demande cependant pourquoi il a fallu si longtemps à Arellano pour parcourir toute la pièce. L’enregistrement avec Bernstein à la tête du Columbia Orchestra depuis le piano dure à peine plus de 16 minutes.

Et, bien sûr, dans le brillant film « Maestro » de Bradley Cooper, Bernstein est bien mieux représenté par ses propres compositions, telles que « Make Our Garden Grow » et le final « Resurrection Symphony » de son compositeur idole Gustav Mahler.

Madeline Porter, Costa Mesa

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