Customize this title in frenchFactbox-Comment les investisseurs étrangers peuvent investir en Inde

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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Le nouveau logo du bâtiment de la Bourse de Bombay (BSE) est visible à Mumbai, en Inde, le 12 juillet 2023. REUTERS/Francis Mascarenhas

Par Jayshree P Upadhyay

Mumbai (Reuters) – Les marchés boursiers indiens sont devenus les quatrièmes au monde, dépassant ceux de Hong Kong, alors que les investisseurs se ruent vers une alternative en croissance rapide aux indices boursiers chinois en difficulté.

Alors que le pays se dirige vers les élections de cette année, l’Inde continue d’attirer les investisseurs étrangers, qui disposent de plusieurs moyens pour investir dans le pays.

INVESTISSEMENTS DE PORTEFEUILLE ÉTRANGERS

Pour investir dans des actions de sociétés cotées en Inde, les investisseurs étrangers doivent emprunter la voie des investissements de portefeuille étrangers (FPI). Les investisseurs, qu’il s’agisse de particuliers ou d’entreprises, doivent être enregistrés auprès de l’organisme de réglementation des marchés du pays et se conformer à ses exigences de divulgation. La plupart des 10 800 FPI sont des fonds.

Il n’y a aucune restriction pour investir dans des sociétés indiennes par cette voie, mais un FPI ne peut pas détenir plus de 10 % dans une société cotée. Si un FPI investit plus de 10 % dans une entreprise, il est classé comme investissement direct étranger pour lequel il existe des restrictions dans certains secteurs.

Tous les investissements FPI doivent être effectués en roupies indiennes et traités par l’intermédiaire de courtiers. Toutes les transactions FPI sont imposées au pair avec les impôts applicables aux investisseurs nationaux, qui comprennent les plus-values ​​à 15 % pour les détentions à court terme de moins d’un an, 10 % pour les détentions à long terme et une surtaxe et une taxe sur les transactions sur titres.

DIVULGATIONS

Le Securities and Exchange Board of India (SEBI) adopte une approche non interventionniste en matière d’enregistrement des fonds offshore, mais oblige les banques dépositaires, par l’intermédiaire desquelles les fonds étrangers entrent en Inde, à divulguer les détails des investisseurs dans ces fonds.

Les dépositaires sont généralement des banques nationales ou des succursales indiennes de banques étrangères. Il existe un total de 17 banques dépositaires enregistrées en Inde, dont Citi Bank, Deutsche Bank, ICICI Bank, Kotak Mahindra Bank, DBS Bank, HSBC, State Bank of India, Standard Chartered (OTC 🙂 Bank, entre autres, selon le site Web SEBI. .

Dans le cadre des règles anti-blanchiment d’argent de l’Inde, les régulateurs exigent également des détails sur ce que l’on appelle les bénéficiaires effectifs, qui font référence à tout investisseur détenant 10 % ou plus des actifs d’un fonds.

En outre, SEBI a renforcé les exigences de divulgation pour les fonds qui ont concentré leurs avoirs dans un seul groupe de sociétés.

INVESTISSEMENTS NON-RÉSIDENTS

Les Indiens non-résidents peuvent investir sur le marché boursier indien via le programme d’investissement de portefeuille et les transactions sont acheminées via un compte d’épargne ordinaire non-résident (NRO). La limite globale d’investissement pour les NRI et toute personne d’origine indienne (PIO) en actions est de 10 % du capital libéré de l’entreprise. L’investissement individuel est plafonné à 5%.

Les NRI ne peuvent pas participer à des transactions intrajournalières, ils doivent prendre livraison d’actions et ne peuvent pas négocier de produits dérivés.

DÉRIVÉS OFFSHORE

Si un investisseur étranger ne souhaite pas passer par le processus d’enregistrement auprès du SEBI, il peut investir dans des actions indiennes via des instruments dérivés offshore ou des notes participatives (P-notes). SEBI définit ces instruments comme étant ceux émis à l’étranger par un FPI contre des titres détenus par le FPI en Inde.

Prendre une position courte en Inde nécessite des informations préalables, mais les investisseurs peuvent le faire via des P-notes pour masquer leurs positions.

Les étrangers peuvent également investir dans les quelque 150 certificats de dépôt américains et mondiaux (ADR/GDR) d’entreprises indiennes cotées sur des bourses offshore. Ces dernières années, le nombre d’entreprises levant des fonds via l’ADR/GDR a diminué.

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