Customize this title in frenchLa Commission européenne publie une recommandation pour lutter contre le piratage des événements en direct

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLa Commission européenne a publié son initiative pour lutter contre le piratage des événements en direct, en s’en tenant à un format non contraignant qui a frustré à la fois les parlementaires et les titulaires de droits. La mesure non contraignante présente plusieurs suggestions sur la manière dont les autorités nationales, les titulaires de droits et les fournisseurs de services intermédiaires peuvent mieux traiter le problème du piratage des événements en direct. Une action sur le sujet est depuis longtemps réclamée par les acteurs des industries du sport et de la création qui affirment que ce piratage, qui s’est accéléré pendant la pandémie, a touché leurs revenus. Cependant, les législateurs de Bruxelles et les titulaires de droits de l’industrie ont exprimé leur déception que l’exécutif européen n’ait pas proposé d’instrument législatif en réponse à leurs préoccupations, optant plutôt pour un format non contraignant. « Internet nous permet plus que jamais de regarder des sports, des concerts et des représentations théâtrales en direct dans le confort de notre foyer – mais il peut aussi mettre en péril des modèles économiques entiers », a déclaré le commissaire au marché intérieur Thierry Breton, en présentant l’initiative jeudi ( 4 mai). « Nous disposons déjà d’un cadre solide pour lutter contre les contenus illégaux en ligne, mais il doit être appliqué. Aujourd’hui, nous appelons les États membres à intensifier la lutte contre le piratage qui démonétise nos secteurs de l’événementiel en direct, par exemple en permettant aux organisateurs d’événements sportifs de demander une injonction. La recommandation, selon la Commission, vise à encourager l’action de toutes les parties concernées pour utiliser tous les instruments juridiques existants pour lutter contre le piratage en ligne d’événements en direct comme les matchs de football et les concerts. La recommandation définit trois axes principaux : le traitement rapide des avis, les injonctions et offres commerciales dynamiques et la sensibilisation. Premièrement, la Commission souligne l’importance d’une action rapide des hébergeurs lorsqu’ils sont informés d’un streaming illégal. S’exprimant jeudi lors de la publication de l’initiative, un porte-parole de la Commission a souligné l’urgence d’une réponse, étant donné que les revenus des événements en direct diminuent fortement à mesure qu’ils progressent et une fois qu’ils se terminent. La loi sur les services numériques (DSA) définit les responsabilités des acteurs en ligne lorsqu’il s’agit de traiter efficacement les contenus illicites. Cependant, la recommandation encourage les fournisseurs à aller au-delà de ce qui est déjà stipulé dans certains cas, par exemple en s’engageant avec des signaleurs de confiance et en développant des solutions techniques pour traiter le contenu en direct. Je deuxième domaine d’intérêt souligne que les dispositions relatives aux ordonnances judiciaires demandant le blocage de la diffusion en continu ont déjà une base juridique dans l’UE. Néanmoins, la recommandation suggère que les juges nationaux et les autorités administratives travaillent à développer le concept d’injonctions dynamiques, un cadre plus flexible qui peut ensuite être adapté. En particulier, selon la Commission, ces injonctions dynamiques permettraient de s’attaquer à des problèmes tels que les «sites miroirs», des répliques pirates de différents sites où se produit un tel streaming illégal. Le troisième volet de l’initiative vise à encourager les organisateurs et diffuseurs d’événements à accroître la disponibilité, l’accessibilité et l’attractivité de leurs offres commerciales. Il suggère également que les États membres sensibilisent les utilisateurs aux méthodes légales d’accès à ce contenu et à la question du piratage en général auprès des autorités chargées de l’application de la loi. La coopération est un autre thème clé de la recommandation, entre les autorités nationales respectives, ainsi qu’entre les titulaires de droits et les intermédiaires tels que les fournisseurs de services Internet et les services de publicité et de paiement, à qui il est demandé de s’assurer qu’ils ne facilitent pas le piratage. Réactions Avant la publication de la recommandation, les parties prenantes avaient déjà commencé à exprimer leur déception face à l’approche de la Commission, y compris le fait que l’initiative était non contraignante plutôt que l’instrument législatif que de nombreux titulaires de droits avaient réclamé. Plus tôt cette semaine, un groupe de 24 députés européens a également écrit à la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, pour documenter leurs frustrations. Ils se sont dits préoccupés par le fait qu’une version préliminaire de la recommandation, obtenue par EURACTIV en avril, fixe trois ans pour l’examen de l’impact de l’initiative. Le délai a été réduit de six mois. Dans la version finale, la Commission a fixé au 17 novembre 2025 le délai pour évaluer les effets de la recommandation. Cet examen s’appuiera sur le suivi effectué par la Commission et l’Observatoire de l’Office de la propriété intellectuelle de l’UE (EUIPO), qui entame aujourd’hui le processus d’établissement d’indicateurs de performance clés sur lesquels se fondera le suivi. La recommandation n’a pas été bien accueillie par les parties prenantes, qui disent qu’elle est inefficace et retarde une affaire urgente. « Cela permet essentiellement à la Commission actuelle de livrer peu ou rien sur cette question (malgré un mandat parlementaire clair pour le faire) avant la fin de ce mandat ; et, simultanément, rend très improbable que la prochaine législature ait le temps nécessaire pour adopter une législation dure si la recommandation est jugée inadéquate », a déclaré Grégoire Polad, directeur général de l’Association des télévisions commerciales. « Il s’agit d’une décision politique et unilatérale qui coûtera cher à l’économie créative européenne à un moment où elle en a le plus besoin. » [Edited by Luca Bertuzzi/Alice Taylor] En savoir plus avec EURACTIV !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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