Customize this title in frenchLa Grande-Bretagne va investir dans un programme de combustible nucléaire de nouvelle génération

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La Grande-Bretagne a déclaré qu’elle prévoyait de dépenser 300 millions de livres (348 millions d’euros) dans un nouveau programme visant à produire du combustible nucléaire avancé adapté à la prochaine génération de réacteurs de production d’électricité, cherchant à déloger la Russie de son rôle de principal fournisseur international.

La Grande-Bretagne fait partie d’une vingtaine de pays – dont les États-Unis, la France et la Corée du Sud – qui ont récemment signé un engagement à tripler la capacité nucléaire mondiale d’ici 2050 dans le cadre des efforts internationaux visant à réduire les émissions de carbone nocives pour le climat.

Dimanche, la Grande-Bretagne a déclaré que son nouvel investissement contribuerait à soutenir la production nationale d’uranium faiblement enrichi à haute teneur (HALEU) – un type de combustible actuellement produit uniquement à une échelle commerciale par la Russie.

Comme d’autres pays européens, ils ont cherché à réduire leur dépendance énergétique à l’égard de la Russie depuis que les forces du président Vladimir Poutine ont envahi l’Ukraine en février 2022.

« Le lancement du programme HALEU permettra au Royaume-Uni de fournir au monde du combustible nucléaire spécialisé et d’isoler davantage la Russie de Poutine », a déclaré le département de la sécurité énergétique dans un communiqué.

« Nous serons le premier pays européen en dehors de la Russie à produire du combustible nucléaire avancé », a déclaré Claire Coutinho, secrétaire d’État britannique chargée de la sécurité énergétique et du zéro émission nette.

« Nous avons tenu tête à Poutine sur le pétrole et le gaz, et nous ne le laisserons pas nous rançonner sur le combustible nucléaire », a-t-elle ajouté.

Première production au début des années 2030

La première usine de production devrait être opérationnelle au début des années 2030 dans le nord-ouest de l’Angleterre, indique le communiqué.

De plus amples détails sur les objectifs de production et la manière dont l’argent serait dépensé devraient être présentés dans un document stratégique encore non programmé.

L’Union européenne et une entreprise américaine travaillent également sur la production.

Même si les groupes militants s’y opposent fortement en raison de ses risques environnementaux, la Grande-Bretagne considère la renaissance de l’énergie nucléaire comme un rôle central dans sa stratégie énergétique à long terme, en lançant l’année dernière un concours pour développer de petits réacteurs nucléaires modulaires (SMR).

De tels réacteurs sont censés être plus faciles et moins coûteux à produire, évitant ainsi les coûts élevés et les retards de construction qui ont conduit à une stagnation de plusieurs décennies dans l’expansion de la capacité nucléaire mondiale.

L’approvisionnement en carburant approprié est considéré comme un goulot d’étranglement potentiel dans la réalisation de l’engagement international à l’horizon 2050, aux côtés de l’apport de financements et des retards réglementaires potentiels autour de l’introduction de la nouvelle technologie SMR.

La France est le premier importateur européen de « produits nucléaires russes » (étude)

La France aura plus que triplé ses importations de produits nucléaires industriels russes entre 2021 et 2022, devenant ainsi le premier importateur européen de ces produits, selon une étude du groupe de réflexion polonais Forum Energii, qui interroge sur la capacité de l’UE à s’affranchir du nucléaire. Ressources russes.

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