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Paris (AFP)- Le chef mondial du cyclisme, David Lappartient, a été élu jeudi président du Comité national olympique français (CNOSF) à la suite d’un appel à l’unité dans la perspective des Jeux de Paris de l’année prochaine.

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Lappartient, président de l’Union cycliste internationale (UCI), a obtenu 36 des 44 suffrages exprimés sur 48 possibles au conseil d’administration du CNOSF : il y a eu trois non et une abstention.

Huit voix sont allées à la rivale de Lappartient, 50 ans, Emmanuelle Bonnet-Oulaldj, co-présidente de la Fédération française des sports de masse, c’est donc Lappartient qui remplacera Brigitte Henriques.

Henriques a annoncé sa démission choc en mai après 18 mois de querelles internes et un désaccord très public avec son prédécesseur Denis Masseglia.

Le mandat du nouveau président, élu l’an dernier pour un mandat de huit ans en tant que membre du Comité international olympique, sera confirmé par un vote de l’assemblée générale du CNOSF le 13 septembre.

« Nous vivons une période troublée depuis plus d’un an », a déclaré Lappartient après son élection.

« On s’était un peu éloigné des valeurs olympiques ces dernières années donc j’espère qu’on va tourner la page.

« Nous devons envisager l’avenir avec sérénité », a-t-il dit, ajoutant qu’il ressentait « un désir partagé ».

La démission d’Henriques et l’élection de Lappartient n’affecteront pas l’organisation des Jeux qui est gérée par le comité d’organisation des Jeux olympiques de Paris, dirigé par le triple médaillé d’or français en canoë Tony Estanguet.

La pièce maîtresse mondiale quadriennale du monde du sport débute le 26 juillet 2024 et se poursuivra jusqu’au 11 août.

Les instances sportives françaises vont désormais se tourner vers Lappartient, administrateur sportif et politique chevronné et président du conseil régional du Morbihan en Bretagne, pour stabiliser le mouvement olympique français.

« Nous avons la chance d’accueillir les Jeux olympiques en France en 2024, c’est un énorme défi », a déclaré Lappartient.

« Nous devons être là. Le Comité olympique doit être complètement mobilisé là-dessus. »

Les scandales étreignent les fédérations

La démission d’Henriques, ancien vice-président de la Fédération française de football, n’est que le dernier drame à avoir touché le sport français au cours de l’année écoulée.

Plusieurs fédérations – football, rugby, gymnastique et tennis – se sont retrouvées mêlées à des scandales.

Il y a eu deux démissions très médiatisées en conséquence – le président octogénaire du football, Noel Le Graet, est parti en février à la suite d’accusations de harcèlement sexuel et psychologique.

L’ancien ministre des Sports et entraîneur de rugby français Bernard Laporte a également quitté son poste de président de la Fédération française de rugby en janvier après avoir été reconnu coupable de corruption – à quelques mois de la France qui accueille la Coupe du monde de rugby masculin.

Des questions ont été posées sur la capacité de Lappartient à gérer les nombreux volets de sa vie professionnelle, mais il a insisté sur le fait qu’il démissionnerait de sa présidence du conseil régional du Morbihan et serait physiquement présent au CNOSF chaque semaine.

« Ce ne sera pas si simple que ça, d’autant plus que je n’avais pas prévu d’être président du CNOSF », a-t-il admis.

« Cela m’oblige à lâcher (certaines choses), notamment sur les obligations locales. »

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