Customize this title in frenchLe Chinois Xi Jinping arrive à San Francisco à bord d’une berline Hongqi pare-balles de 18 pieds – mais elle est éclipsée par la Cadillac de 10 tonnes et 1,5 million de dollars de Joe Biden

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLe président chinois Xi Jinping a entamé mardi sa première visite aux États-Unis en six ans à bord de sa berline Hongqi pare-balles de 18 pieds de long.Il est arrivé en Californie pour une réunion de haut niveau avec le président Joe Biden et pour assister au sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC).Le président Xi a descendu les marches de son avion d’Air China sur le tarmac de l’aéroport international de San Francisco et s’est rendu directement dans son cortège jusqu’à son hôtel. Son Hongqi sur mesure, nommé N701, coûte au moins 700 000 dollars et est équipé de plaques de blindage anti-roquettes, d’épaisses fenêtres pare-balles et de systèmes de protection contre les armes biologiques et chimiques. Mais le véhicule chinois est éclipsé par la Cadillac de 10 tonnes du président Biden, qui vaut 1,5 million de dollars et dispose de caméras de vision nocturne, de canons à gaz lacrymogènes et de huit pouces de blindage. Le président chinois Xi Jinping a entamé mardi sa première visite aux États-Unis en six ans à bord de sa berline Hongqi pare-balles de 18 pieds de long. Son Hongqi sur mesure, nommé N701, coûte au moins 700 000 dollars et est équipé de plaques de blindage anti-roquettes, d’épaisses fenêtres pare-balles et de systèmes de protection contre les armes biologiques et chimiques. Mais le véhicule chinois est éclipsé par la Cadillac de 10 tonnes du président Biden, qui vaut 1,5 million de dollars et possède des caméras de vision nocturne, des canons à gaz lacrymogènes et un blindage de huit pouces.Hongqi se traduit par Red Flag en anglais et est une filiale du constructeur automobile FAW Car Co, le plus ancien constructeur automobile de Chine.Elle a été fondée en 1959 dans le but principal de fabriquer des véhicules destinés aux hauts fonctionnaires du gouvernement. Le N701 du président Xi, qui a été modifié à partir du Hongqi L5, a été décrit comme la version chinoise de la Rolls-Royce Phanton, mais en plus exclusive, chère et imposante. La berline de luxe s’étend sur 18 pieds, pèse au moins 3,1 tonnes et est propulsée par un moteur V12 turbocompressé de six litres qui produit 408 chevaux. Il a été fortement modifié pour protéger le président chinois et est doté de nombreuses fonctions spéciales.Bien que de nombreuses spécifications soient des secrets d’État, la voiture est dotée de plaques de blindage anti-roquettes pour résister aux tirs nourris et aux impacts directs des bombes.Il dispose également de solides roues en caoutchouc de 21 pouces qui sont pare-balles, de systèmes de protection contre les armes chimiques et biologiques et d’un épais verre pare-balles renforcé.La voiture d’État officielle, qui a fait ses débuts lors de la visite du président Xi à Hong Kong le 1er juillet 2022, peut atteindre des vitesses d’au moins 210 km/h. L’avant du N701 présente également le célèbre motif du drapeau rouge de Hongqi qui s’étend sur le capot et comporte deux petits porte-drapeaux sur les ailes. Hongqi ne construira que 50 modèles au cours des 10 prochaines années. Le président Xi a déclaré à un cadre du Parti communiste en 2012 que les dirigeants chinois ne devraient utiliser que des voitures chinoises. « Cela n’a pas l’air bien de s’asseoir dans une voiture étrangère. De nombreux dirigeants étrangers utilisent les limousines de leur propre pays, à moins qu’il n’y en ait pas », a-t-il déclaré. La première fois qu’il a transporté des véhicules de fabrication chinoise lors d’une visite d’État, c’était en Nouvelle-Zélande en 2014, où il a transporté deux voitures Hongqi L5. La L5 a été produite pour la première fois en 2014 et est réputée pour être la voiture de fabrication chinoise la plus chère jamais disponible, à 700 000 $. Le cortège du président chinois Xi Jinping se prépare à partir après son arrivée à l’aéroport international de San Francisco Le N701 du président Xi, qui a été modifié à partir du Hongqi L5, a été décrit comme la version chinoise de la Rolls-Royce Phanton, mais en plus exclusif, plus cher et plus imposant. La berline de luxe s’étend sur 18 pieds, pèse au moins 3,1 tonnes et est propulsée par un moteur V12 turbocompressé de six litres qui produit 408 chevaux. Le président Xi a déclaré à un cadre du Parti communiste en 2012 que les dirigeants chinois ne devraient utiliser que des voitures chinoises.Mais le N701 n’est rien en comparaison avec la bête du président Biden. Les portes de son véhicule pèsent autant que celles d’un Boeing 757 et ses pneus sont pneumatiques à affaissement limité, de sorte que le véhicule peut toujours rouler même s’ils sont dégonflés.Le président américain peut également utiliser un système de communication de pointe intégré au Beast, qui pèse environ 20 000 livres.Il existe également un système d’oxygène sécurisé et un approvisionnement en sang du président en cas d’urgence.La Bête a été construite pour résister aux attaques chimiques et biologiques ainsi qu’aux balles et aux explosions, son châssis étant déclaré effectivement « indestructible ».Ses fenêtres auraient une épaisseur de trois pouces, tandis que son blindage en acier et céramique aurait une épaisseur de huit pouces.Dans le compartiment arrière de la voiture, le président et jusqu’à quatre passagers sont séparés du conducteur par une cloison vitrée.Le président est le seul à pouvoir abaisser la cloison d’un simple coup de bouton.Bien que de nombreuses caractéristiques de la Beast restent hautement classifiées, son coffre est également équipé d’un système anti-incendie, d’écrans anti-déchirure et de fumée.Les sièges arrière disposent d’un téléphone satellite avec une ligne directe vers le vice-président Kamala Harris et le Pentagone. Les portes de la bête de Biden pèsent autant que celles d’un Boeing 757 et ses pneus sont à gonflage pneumatique, ce qui permet au véhicule de rouler même s’ils sont dégonflés. La Bête a été construite pour résister aux attaques chimiques et biologiques ainsi qu’aux balles et aux explosions, son châssis étant déclaré effectivement « indestructible ». Le sommet de Biden avec le président Xi sera la première rencontre face-à-face entre les dirigeants américains et chinois depuis un an et a été présenté par les responsables américains comme une opportunité de réduire les frictions.Et le réservoir de carburant de la Beast est blindé et rempli de mousse spéciale qui l’empêche d’exploser même en cas de coup direct.Le châssis du véhicule, développé par General Motors, est en acier tandis que la carrosserie de la voiture est une combinaison d’acier, d’aluminium, de titane et de céramique.Xi en est à sa première visite aux États-Unis depuis 2017. Il doit rencontrer Biden mercredi matin dans un lieu tenu secret dans la région de la baie de San Francisco, puis assister au sommet annuel du forum de l’APEC.Son sommet avec Biden sera la première rencontre face-à-face entre les dirigeants américains et chinois depuis un an et a été présenté par les responsables américains comme une opportunité de réduire les frictions dans ce que beaucoup considèrent comme la rivalité la plus dangereuse au monde.Xi a fait un signe de la main depuis les marches de son avion d’Air China à son arrivée et est descendu pour rencontrer des responsables américains sur le tarmac, notamment la secrétaire au Trésor Janet Yellen et l’ambassadeur américain en Chine Nicholas Burns.Plus tôt, Biden avait déclaré qu’il visait à améliorer les relations avec la Chine après une période de relations tendues et qu’il chercherait à reprendre les communications normales entre les deux superpuissances, y compris les contacts militaires.Le porte-parole de la sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, a déclaré aux journalistes que Biden et Xi parleraient également du conflit Israël-Hamas à Gaza ainsi que des efforts américains pour soutenir l’Ukraine dans sa lutte contre l’armée russe.Les questions économiques figureront en bonne place à l’ordre du jour.Biden a déclaré que les États-Unis ne voulaient pas se dissocier de la Chine, mais souhaitaient améliorer les relations économiques. Son administration s’est efforcée de « réduire les risques » de certaines chaînes d’approvisionnement américaines critiques en provenance de Chine, alors que la concurrence économique et militaire entre les deux pays s’est intensifiée.Xi, qui cherche à attirer les investissements étrangers pendant l’APEC pour contrer les récentes difficultés de son pays, devrait dîner avec de hauts dirigeants d’entreprises américaines mercredi.

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