Customize this title in frenchLe Parlement espagnol approuve la loi d’amnistie, l’opposition de droite annonce son blocage au Sénat

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Le parlement espagnol a approuvé un projet de loi qui permettrait de gracier les séparatistes catalans qui ont commis des actes illégaux entre 2012 et 2023, mais le texte est désormais en cours d’examen au Sénat, le parti majoritaire à la chambre haute, le Partido Popular (PP) de droite. , a déclaré qu’il tenterait de bloquer le processus.

Le Parlement a approuvé le projet de loi par 178 voix contre 172 dans les 350 sièges de la chambre basse de Madrid, avec seuls le PP, le parti d’extrême droite VOX (la troisième force au Parlement), l’UPN de droite (Navarre) et la Coalición Canaria. contre le texte.

Le projet de loi devrait être approuvé d’ici fin mai ou début juin et, selon les estimations du gouvernement, il bénéficierait à environ 400 séparatistes catalans, a rapporté EFE, partenaire d’Euractiv.

Cela absoudrait les personnes liées au mouvement sécessionniste de toute responsabilité pénale, administrative et financière, ouvrant potentiellement la voie au retour en Espagne de l’ancien président catalan et leader de JxCat. Carles Puigdemontqui vit en exil en Belgique depuis qu’il a été chargé de diriger le mouvement indépendantiste.

Cependant, le projet de loi pourrait même ne pas être adopté par le Sénat, car le PP et VOX – qui ont critiqué à plusieurs reprises le gouvernement Sanchez pour avoir cédé aux séparatistes catalans pour s’accrocher au pouvoir – ont réitéré leur forte opposition au projet de loi au Parlement.

Des personnalités clés des deux partis ont déclaré qu’elles lanceraient une campagne juridique intensive pour tenter de faire annuler le projet de loi devant la Cour suprême, la Cour constitutionnelle et la Cour de justice de l’UE.

Cependant, l’adoption du projet de loi d’amnistie reste essentielle pour le gouvernement du Premier ministre Pedro Sánchez, car il a promis aux partis séparatistes catalans – de droite JxCat et de gauche ERC – un tel projet de loi en échange de leur soutien au Parlement. Les deux partis séparatistes ont également clairement indiqué que la loi d’amnistie « n’est que la première étape » vers un référendum sur l’indépendance.

Puigdemont avait même refusé de soutenir Sánchez sans une loi d’amnistie « globale », incluant d’éventuels crimes de « terrorisme » qui auraient été commis en 2019, tandis qu’en janvier, son parti a rejeté une proposition qui, selon lui, n’offrait pas de garanties suffisantes que les séparatistes ne seraient pas poursuivis. .

Le PSOE de Sánchez, qui considère la loi d’amnistie comme nécessaire pour que le pays puisse avancer, a eu son porte-parole parlementaire, Patxi Lópezdéfendent fermement le projet de loi jeudi.

Dans son discours, López a souligné l’importance de soutenir le projet de loi en faisant référence aux prochaines élections anticipées qui auront lieu en Catalogne le 12 mai, soulignant qu’elles marquaient la fin d’un « cycle de décisions politiques » à travers lequel le gouvernement cherchait à trouver « réconciliation » en Catalogne.

(Fernando Heller | EuroEFE.Euractiv.es)

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