Customize this title in frenchLe procès d’une grand-mère au Taser contre le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud n’aboutit pas

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Une action civile contre l’État de Nouvelle-Galles du Sud de la part de la famille d’une femme de 95 ans décédée après avoir été Taser dans une maison de retraite n’ira pas plus loin.

L’affaire s’est terminée en février et une conférence en mars a été annulée parce que la revendication a été abandonnée ou retirée.

Agent principal Kristian White devrait être traduit en justice pour des accusations criminelles, notamment d’homicide involontaire, en avril, après avoir utilisé Clare Nowland dans une maison de retraite pour personnes âgées à Cooma, dans le sud de la Nouvelle-Galles du Sud, en mai.
La famille de Clare Nowland a intenté une action civile suite à sa mort, mais le procès pénal contre l’agent principal Kristian White est en cours. (Neuf)

On a demandé à plusieurs reprises à Nowland de laisser tomber le couteau dentelé qu’elle tenait avant de recevoir un Taser, mais elle a répondu « non » ou n’a pas répondu, selon les documents judiciaires de la procédure pénale.

White l’a confrontée avec son Taser dégainé et lui a dit d’arrêter de bouger avant de dire « non, c’est foutu » et de tirer avec l’arme.

La police allègue que les actions du gendarme principal White étaient « largement disproportionnées » et constituaient un recours excessif à la force compte tenu de l’âge et de la fragilité de la femme.

Elle a passé une semaine à l’hôpital avec des blessures graves, notamment une fracture du crâne, avant de mourir.

AAP a contacté les avocats de la famille de Nowland pour obtenir leurs commentaires.

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