Customize this title in frenchLe rapport de l’AFL sur les commotions cérébrales de 1993 est au cœur du recours collectif

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Un AFL Un rapport sur les commotions cérébrales datant d’il y a 30 ans est utilisé dans le cadre d’un recours collectif majeur contre le code au nom de dizaines de joueurs.

Le cas du plaignant principal et ancienne star de Geelong, Max Rooke, s’appuie sur le rapport d’un médecin de l’AFL daté du 26 novembre 1993, selon une déclaration déposée mercredi devant la Cour suprême de Victoria.

Le document allègue que le rapport du médecin de l’AFL, préparé pour le Conseil national de la santé et de la recherche médicale, montre qu’il connaissait les risques de préjudice liés à la gestion des commotions cérébrales.

La Cour suprême de Victoria à Melbourne. (Médias Fairfax)

Il affirme que le rapport se résume au fait que les joueurs ne peuvent reprendre l’entraînement qu’une fois les symptômes de commotion cérébrale résolus, que l’entraînement doit être sans contact avec un retour progressif à l’entraînement complet uniquement s’ils n’ont plus de symptômes et que les joueurs doivent être étroitement surveillés pour déceler des changements subtils avant de jouer. dans les matchs.

La réclamation de Rooke détaille des coups de tête importants ou des symptômes compatibles avec une commotion cérébrale de 2002 à 2009 au cours des saisons à domicile et à l’extérieur, des finales et des matchs de la VFL.

Le document allègue qu’à plusieurs reprises au cours de sa carrière dans l’AFL, il a continué à jouer ou à s’entraîner alors qu’il présentait des symptômes de commotion cérébrale, qu’il n’était pas encore complètement rétabli et qu’il n’avait pas bénéficié d’une période de repos obligatoire.

Ses blessures sont répertoriées comme un traumatisme crânien acquis et un traumatisme psychiatrique, ce qui limite considérablement sa capacité d’emploi.

Plus de 70 anciens joueurs font partie du recours collectif mené par les avocats spécialisés en blessures de Margalit, tandis que d’autres liés aux avocats de Griffins devraient également se joindre à eux.

Le procès a désormais été élargi aux familles des footballeurs décédés.

« La plainte allègue que l’AFL était au courant des preuves médicales et scientifiques substantielles concernant les effets possibles à long terme d’une commotion cérébrale », a déclaré le directeur de Margalit, Michel Margalit.

« Au lieu de prendre des mesures dès le début pour protéger les joueurs, l’AFL a traîné les pieds, ce qui a laissé les joueurs dans des conditions permanentes dont ils ne se remettront jamais. »

Par ailleurs, des réclamations Workcover ont également été déposées au nom d’une trentaine de joueurs actifs entre mai 1978 et décembre 1997 qui ont subi des blessures physiques et psychologiques.

Les commotions cérébrales sont devenues une préoccupation majeure pour les organisations sportives ces dernières années, avec des codes majeurs tels que l’AFL et la LNR déployant des protocoles mis à jour.

En plus du recours collectif, plusieurs anciens joueurs de l’AFL ont intenté des poursuites individuelles devant les tribunaux de Victoria et certains joueurs décédés ont reçu un diagnostic de grave encéphalopathie traumatique chronique, liée à une commotion cérébrale.

L’AFL a été contactée pour commentaires.

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