Customize this title in frenchL’écart salarial entre hommes et femmes continue de se creuser en Italie

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Il y a eu une différence de près de 8 000 € entre le salaire moyen des hommes et des femmes en 2022 par rapport à 2021, où il était d’environ 6 700 €, écrit l’Observatoire des salariés du secteur privé de l’Institut national de la sécurité sociale (INPS) dans son rapport annuel : ajoutant que ce nombre ne fera que croître.

Le salaire annuel moyen en Italie est de 22 839 €, mais alors que les hommes ont en moyenne 26 227 € dans leur enveloppe salariale, les travailleuses ont 18 305 €.

À titre de comparaison, en 2021, le revenu moyen d’un homme était de 25 958 €, tandis que le revenu moyen d’une femme était de 19 218 €, soit une différence de 6 740 €.

Le rapport détaille également les chiffres dans les différents territoires d’Italie. Entre les Îles et le nord-est, la différence est de 7 333 €.

L’écart salarial entre hommes et femmes se creuse en Italie, mais n’est pas particulièrement marqué par rapport aux autres pays de l’OCDE. Cependant, la situation est aggravée par le fait que les travailleurs italiens reçoivent des salaires très bas par rapport à la moyenne des autres pays.

Selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l’écart salarial entre hommes et femmes en Italie s’élève à 8,7 %, contre une moyenne de 11,9 %. Les pays les plus mal lotis, selon l’OCDE, sont les États-Unis, la France et l’Allemagne.

En Italie, il y a également plus de travailleurs masculins (57,2 %) que de femmes, principalement parce que les femmes ont du mal à continuer de travailler et à fonder une famille et sont souvent contraintes d’abandonner leur carrière ou d’accepter des emplois à temps partiel.

L’écart salarial selon le sexe est « significativement corrélé à la plus grande présence du travail à temps partiel chez les femmes », souligne l’INPS. L’année dernière, 21 % des salariés masculins avaient au moins une relation de travail à temps partiel, tandis que parmi les femmes, la part des salariées ayant au moins un emploi à temps partiel dans l’année était d’environ 49 %.

(Federica Pascale | Euractiv.it)

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