Customize this title in frenchLes maires français s’unissent pour s’opposer à six jours de violentes manifestations

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Les maires de toute la France ont organisé des rassemblements pour s’opposer à près d’une semaine de manifestations violentes à la suite de la mort par balle d’un adolescent par un policier

Des rassemblements ont eu lieu devant les mairies à travers la France en solidarité avec le maire de L’Haÿ-les-Roses, dont le domicile a été attaqué lors des émeutes qui ont secoué le pays.

Ces violences ont fait suite à la fusillade mortelle d’un jeune homme à un poste de contrôle à Nanterre.

Le gouvernement a lutté contre les émeutes et les pillages depuis que Nahel M., 17 ans, a été abattu par un policier lors d’un contrôle routier mardi, ravivant les accusations de racisme de longue date contre la police française.

Le maire de Nanterre, Patrick Jarry, a participé à l’une des manifestations dans sa ville natale.

« Nous espérons que justice sera faite pour Nahel et que l’appel de la famille de Nahel, et en particulier de sa grand-mère, à faire cesser les violences et les dégâts sera entendu et respecté », a-t-il déclaré.

Paris a également été victime de la vague d’attentats et de pillages inclus dans les émeutes.

La maire de Paris, Annee Hidalgo, a déclaré : « Nous avons condamné sans réserve les violences et les attaques contre les biens et les personnes ici, rien ne peut justifier la violence ».

A L’Haÿ-les-Roses, la mairie est entourée de barricades et de barbelés.

Les mairies, les commissariats, les bus, les tramways, les magasins et les entrepôts sont tous devenus les cibles de l’explosion de colère déclenchée par la mort du jeune Nahel.

Il y a des destructions de plusieurs millions d’euros, des milliers d’arrestations et de nombreux blessés. Un jeune pompier est mort d’une crise cardiaque lors d’un incendie criminel. Le gouvernement insiste sur le fait que la violence est sous contrôle.

Cherchant à réprimer ce qui est devenu l’un des plus grands défis du président Emmanuel Macron depuis son entrée en fonction en 2017, le ministère de l’Intérieur a déployé 45 000 policiers et gendarmes dans tout le pays dans la nuit de dimanche à lundi, soit le même chiffre que les deux nuits précédentes.

Dimanche soir, 157 personnes ont été arrêtées dans tout le pays, selon le ministère de l’Intérieur ; une fraction du nombre de personnes arrêtées la nuit précédente.

Trois policiers ont également été blessés.

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