Customize this title in frenchL’étude Bloom salue le bilan environnemental de la gauche et fustige la droite et le centre au Parlement européen

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Les partis de gauche au Parlement européen ont pris la première place du classement des performances environnementales des groupes politiques publié par l’association environnementale française Bloom, mercredi 20 mars, tandis que ceux de droite sont relégués au bas du classement.

Dans son rapport, Bloom, spécialisé dans la protection des océans, a examiné les votes environnementaux des 853 législateurs qui ont siégé au Parlement durant la législature en cours pour établir un score pour chaque groupe, délégation et parti présent dans l’hémicycle.

L’ONG a étudié quatre thèmes, répartis sur 52 textes et 150 votes : préserver l’océan et la pêche artisanale, lutter contre le changement climatique, protéger la biodiversité et l’agriculture durable, et défendre la justice et les droits environnementaux.

Les partis de droite et d’extrême droite sont considérés comme les moins performants, « les casseurs », selon Bloom, dont la présidente et fondatrice, Claire Nouvian, est également cofondatrice du parti d’appartenance socialiste Place publique (Socialistes). et Démocrates, S&D).

Les libéraux centristes de Renew Europe sont qualifiés d’« hypocrites », tandis que les délégations de gauche et les écologistes sont qualifiés de « bâtisseurs ».

Alessandro Manzotti, chercheur et chargé de plaidoyer pour Bloom, a expliqué à Euractiv la méthodologie du classement : « pour juger de la performance environnementale des votes, nous nous sommes basés sur notre expertise et celle d’autres ONG reconnues par la société civile, comme l’Association européenne de l’environnement. Bureau et Greenpeace ».

La Gauche très proche du titre

Bloom a particulièrement salué le travail du groupe Les Verts/ALE, dont la note moyenne était de 19,8/20, mené par les cinq premières délégations nationales, avec en tête les Danoises (19,9/20) et les Françaises (19,9/20).

Le groupe de Gauche suit de près avec une note moyenne de 19,04/20.

Le groupe S&D arrive loin en troisième position avec une moyenne de 16,6/20. À cela s’ajoute la note légèrement inférieure (15,7/20) des Espagnols, la plus grande délégation du groupe, en raison de leur position singulière en matière d’exploitation des ressources halieutiques.

La droite en position reléguée

Le camp de droite rassemble les mauvais résultats, avec le plus grand groupe du Parlement, le Parti populaire européen (PPE) et ses 177 députés, affichant une moyenne de 3,8/20.

Les 30 démocrates-chrétiens allemands du groupe, la plus grande délégation au Parlement, ont obtenu une note de 2,5/20. A leurs côtés, les huit eurodéputés français ont obtenu une note de 5,5/20, tandis que l’unique eurodéputé hongrois du PPE n’a pas dépassé 1,8/20.

Il est suivi par les quatre Espagnols (1,9/20) de Vox et les 27 Polonais du PiS (2,1/20), membres du groupe d’extrême droite des Conservateurs et réformateurs européens (ECR) (2,5/20), qui, sur La moyenne a fait moins bien que l’autre groupe d’extrême droite, ID (3,3/20).

Les 22 Italiens de la Ligue, la plus grande délégation de l’ID, ont obtenu un peu plus de 2,1/20, tandis que les 18 Français du Rassemblement national (RN) de Marine Le Pen s’en sortent mieux avec 3,8/20.

Renouveler ‘sans boussole’

Le centriste Renew Europe, avec une note de 11,9/20, est marqué par une forte polarisation de ses délégations.

Alors que les trois eurodéputés slovaques obtiennent 17,3/20, les 23 eurodéputés français, menés par Renaissance d’Emmanuel Macron, obtiennent 14,6/20, tandis que les sept eurodéputés allemands du parti FDP peinent à dépasser 5,5/20.

Renew Europe est une « coalition sans boussole et sans conviction politique, mettant en péril des projets de loi essentiels, conduisant parfois à leur rejet », a écrit Bloom, ajoutant qu’avec ce groupe, « chaque vote devient la roulette russe ».

Méthodologie

Pour évaluer la performance environnementale des groupes et délégations, l’association a dû faire des choix méthodologiques.

De nombreux textes et amendements en faveur du développement et de l’utilisation des énergies renouvelables ont été pris en compte par l’étude.

Cependant, le soutien au développement de l’énergie nucléaire, par exemple, n’a pas été pris en compte dans le calcul, alors qu’il s’agit d’une énergie peu carbonée.

« Nous n’avons pas l’expertise nécessaire pour exprimer une opinion sur le sujet », a ajouté Manzotti.

15 recommandations

L’association n’a pas encore publié les scores de chaque parti politique, mais son service de communication a déclaré à Euractiv que cela ne devrait pas « changer le tableau d’ensemble ».

En attendant, Bloom a déjà envoyé aux candidats aux élections européennes de juin 15 propositions pour le prochain mandat 2024-2029, avec une référence particulière à la préservation des océans.

[Edited by Zoran Radosavljevic]

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