Customize this title in french »L’intérêt pour l’Inde reste très élevé »

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Ministre du commerce et de l’industrie Piyush Goyal a passé la journée à rencontrer des entreprises françaises et des responsables gouvernementaux clés, dont le ministre français Olivier Becht. Extraits d’une conversation :
Le FMI a abaissé sa projection de croissance pour l’Inde. Dans vos interactions, sentez-vous que les entreprises ralentissent leurs plans d’investissement, compte tenu des problèmes aux États-Unis et en Europe ?
Ce que les agences peuvent projeter comme taux de croissance potentiel… La réalité est que l’Inde est aujourd’hui un grand marché de 1,4 milliard de personnes et est en soi un énorme marché intérieur. Notre propre part du commerce mondial est relativement faible, malgré la croissance massive des deux dernières années. L’Inde évolue de plus en plus vers une économie manufacturière axée sur les exportations. Notre secteur des services devient rapidement le partenaire de confiance du monde. Il y a un très bel avenir devant nous.
Le nombre d’IDE est en baisse, quel est le plan pour l’année prochaine ?
En grande partie, le nombre d’IDE a diminué dans l’écosystème des startups, dont certaines étaient dues à des valorisations. Dans le monde post-Covid, nous constatons qu’il y a eu un assouplissement de certaines de ces valorisations. Je pense aussi qu’une bonne partie des investissements refoulés sont entrés au pays l’an dernier. Par conséquent, nous n’avons pas besoin d’établir nos plans à long terme sur la base d’un an. L’intérêt pour l’Inde continue d’être très important. Nous assisterons à un énorme afflux d’investissements, en particulier dans la période post-G20, où de nombreux hommes d’affaires viennent en Inde et sont complètement surpris lorsqu’ils voient les changements transformationnels qui se sont produits sous la direction du Premier ministre Modi.
Il y a des inquiétudes au sujet de la mousson. Qu’est-ce que cela signifie pour la production de blé et de paddy et comment se passe l’approvisionnement pendant la saison en cours ?
Nos achats de paddy ont été conformes aux objectifs et nous avons constitué des stocks suffisants. Il n’y a pas du tout d’inquiétude sur le riz pour l’année en cours et nous avons encore une deuxième saison, où nous aurons des stocks supplémentaires. En ce qui concerne le blé (cette saison), il a été légèrement retardé à cause des pluies hors saison, nous avions envoyé nos équipes dans les états qui ont des problèmes mineurs de perte d’éclat ou d’humidité, mais cela ne nuit pas à l’approvisionnement. Au cours des prochaines semaines, nous verrons une quantité importante de stocks arriver.
Comment les entreprises françaises ont-elles répondu à ALE pourparlers avec l’UE?
Tout le monde est très excité. J’ai eu de très bonnes conversations avec le ministre français. Nous bénéficions du soutien total du gouvernement français et il tient à ce que nous progressions sur tous les fronts – pour un accord de libre-échange global, les questions d’accès au marché, l’accord de protection des investissements, l’accord IG. Les entreprises voient également d’énormes opportunités et pensent qu’elles seront plus à l’aise avec l’ALE à mesure qu’elles concrétiseront leurs plans d’investissement.
Quel sera l’impact de la taxe carbone sur les exportations indiennes, en particulier lorsque l’UE travaille sur plusieurs étapes ?
L’Inde est à l’avant-garde de l’engagement envers la durabilité de la construction d’un meilleur écosystème, améliorant ainsi notre propre empreinte carbone. C’est trop tôt parce qu’il n’y a pas d’indication claire sur la façon dont cela va fonctionner, les modalités, la période de transition. Une fois que nous aurons plus de clarté, nous pourrons venir à une table de négociation et trouver des solutions.



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