Customize this title in frenchRecommandation : l’ex-ministre devrait attendre jusqu’en 2024 pour un nouvel emploi

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

Erfurt (dpa/th) – La ministre de l’Environnement démissionnaire de Thuringe, Anja Siegesmund, selon la recommandation d’un comité indépendant, devrait observer une période d’attente de 16 mois avant de prendre un emploi dans l’économie. La période d’attente, qui est possible en vertu de la loi ministérielle de Thuringe, commencerait avec la démission du politicien vert pour des raisons personnelles fin janvier 2023, ont indiqué jeudi les cercles parlementaires du gouvernement et de l’État à Erfurt. La recommandation de 16 mois, qui avait été signalée pour la première fois par le MDR Thüringen, a été confirmée.

La Chancellerie d’État s’est refusée à tout commentaire. Une porte-parole n’a déclaré que sur demande que le cabinet traiterait probablement d’une éventuelle période d’attente pour l’ancien ministre de l’environnement dans la seconde quinzaine d’avril.

Un changement de Siegesmund en l’Association fédérale allemande de gestion des déchets, de l’eau et du recyclage est en discussion depuis des semaines, qui, selon des informations antérieures, veut prendre une décision sur le pourvoi du poste présidentiel exécutif fin mai. Ni Siegesmund ni l’association n’avaient officiellement confirmé qu’elle était la candidate pour cela. La politicienne écologiste a d’abord justifié sa démission par une pause dans laquelle elle souhaitait prendre du temps pour sa famille puis entamer une nouvelle carrière.

Le directeur parlementaire du groupe parlementaire AfD, Torben Braga, appelle le gouvernement de l’Etat à suivre la recommandation d’un délai de carence de 16 mois. Il est évident « que les intérêts de l’association, que Mme Siegesmund veut diriger, sont très étroitement liés à son poste précédent de ministre de l’environnement de l’Etat ».

Baraga a fait référence à une demande adressée au gouvernement, dont la réponse a montré qu’il y avait eu des contacts répétés entre l’association et le ministère de l’Environnement de Thuringe depuis 2014. Selon Braga, le contribuable devrait désormais payer le fait que l’ex-ministre croyait pouvoir passer directement du cabinet ministériel à la tête d’une association de lobbying. Siegesmund a droit à des paiements transitoires en tant qu’ancien ministre.

Le gouvernement de Thuringe avait informé une autre demande de l’AfD que Siegesmund avait déjà informée le 12 janvier, près de trois semaines après l’annonce de leur démission, du possible début d’un emploi dans une association professionnelle. « Elle a informé dans la lettre de l’employeur éventuel, du domaine d’activité et du contenu de l’activité éventuelle », indique un protocole du parlement de l’État.

La loi ministérielle de Thuringe prévoit un délai d’attente pouvant aller jusqu’à 24 mois pour les anciens ministres s’ils souhaitent accepter des emplois correspondant à leur mandat précédent. En fin de compte, le gouvernement de l’État décide de la durée de la période d’attente, qui obtient une recommandation du comité consultatif externe.

Les membres de l’organe consultatif sont élus par le parlement de l’État pour une période de cinq ans après un amendement à la loi ministérielle, que les Verts ont notamment réclamé après leur arrivée au pouvoir en 2014. Aucun membre ou employé du parlement de l’État, du gouvernement de l’État ou des ministères ne peut en faire partie.

Selon le MDR Thuringe, Siegesmund aurait déjà dû être informé de la recommandation de l’organe consultatif. Interrogée par le MDR, elle n’a pas voulu confirmer ou commenter cela. L’association a annoncé qu’elle achèverait le processus de sélection pour le poste de président d’ici la fin avril et qu’elle déciderait de la nomination lors de l’assemblée générale fin mai, a rapporté le diffuseur.

La loi ministérielle de Thuringe, qui a été modifiée en 2018, stipule : « Le gouvernement de l’État peut interdire totalement ou partiellement un emploi rémunéré ou un autre emploi dans les 24 premiers mois après avoir quitté ses fonctions s’il existe des craintes que l’intérêt public ne soit affecté par l’emploi. « 

© dpa-infocom, dpa:230406-99-237289/3

Source link -57