Customize this title in frenchRévélé : Comment la BBC a qualifié à plusieurs reprises les atrocités passées d’attaques terroristes tout en refusant d’utiliser cette expression dans ses reportages sur le Hamas

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLa BBC a qualifié à plusieurs reprises les atrocités passées d’attaques terroristes, tout en refusant d’utiliser cette expression dans ses reportages sur les massacres de civils israéliens par le Hamas, a révélé une enquête de MailOnline. De nombreux reportages sur le site Internet de BBC News, toujours visibles en ligne, décrivent les incidents survenus au Royaume-Uni et à l’étranger comme des attaques terroristes dans les titres et dans les textes des articles. Les histoires sur les attentats du pont de Londres, de Westminster et de Paris comportent toutes les mots sans guillemets ni attribution. La BBC a été vivement critiquée pour son refus de qualifier de terrorisme le meurtre d’environ 1 300 Israéliens, dont de nombreux civils, par le Hamas. La fureur est montée aujourd’hui lorsqu’il a été révélé qu’un titre sur le site Internet de la BBC décrivait la fusillade de deux supporters de football suédois à Bruxelles la nuit dernière comme une « attaque terroriste ». De nombreux reportages sur le site Web de BBC News, toujours visibles en ligne, décrivent les incidents survenus au Royaume-Uni et à l’étranger comme des attaques terroristes dans les gros titres et dans le texte des articles. La BBC s’est empressée ces derniers jours de défendre ses directives éditoriales qui stipulent que les reportages ne doivent « pas utiliser le terme « terroriste » sans attribution ». La BBC a été vivement critiquée pour son refus de qualifier de terrorisme le meurtre d’environ 1 300 Israéliens, dont de nombreux civils, par le Hamas. Sur la photo : des soldats israéliens déposent les cercueils de cinq membres de la famille Kutz lors de leurs funérailles à Gan Yavne, en Israël.Par ailleurs, la BBC ne semble pas avoir utilisé cette expression pour décrire le massacre de civils, dont des enfants, par le groupe terroriste Hamas qui dirige Gaza. La BBC s’est empressée ces derniers jours de défendre ses directives éditoriales qui stipulent que les reportages ne doivent pas « utiliser le terme « terroriste » sans attribution ». Mais MailOnline a constaté que le guide de style de BBC News indique également clairement qu’il est permis de qualifier certains incidents d’« attaque terroriste ». Le guide précise : « Même si la description des auteurs doit être prudente, une action ou un événement peut être décrit comme une attaque terroriste ou un acte terroriste. « Lorsque nous utilisons ce terme, nous devons nous efforcer de le faire de manière cohérente dans les histoires que nous rapportons dans tous nos services, et d’une manière qui ne porte pas atteinte à notre réputation d’objectivité et d’exactitude. « Il est également très important que nous nous efforcions d’assurer la cohérence entre les sites internationaux et britanniques. Si une histoire de BBC World utilise un langage très mesuré mais pas une version britannique, un utilisateur remettra à juste titre en question les différentes approches. Parmi les articles de la BBC découverts par MailOnline, il y en a un du 14 janvier 2015, avec un titre décrivant les conséquences de l’attaque de Charlie Hebdo à Paris, au cours de laquelle des hommes armés ont massacré le personnel du magazine satirique à Paris, comme « trois jours de terreur ».Au moins sept articles du site Internet de la BBC News sur les atrocités commises à Westminster en mars 2017, qui ont tué six personnes, dont l’attaquant, et blessé 50 personnes, les décrivent également comme une « attaque terroriste ». La fureur est montée aujourd’hui lorsqu’il a été révélé qu’un titre sur le site Internet de la BBC décrivait la fusillade de deux supporters de football suédois à Bruxelles la nuit dernière comme une « attaque terroriste ». Sur la photo : un policier belge sécurise la zone où le tireur est neutralisé à Bruxelles Au moins sept articles du site Internet de la BBC News sur les atrocités commises à Westminster en mars 2017, qui ont tué six personnes, dont l’attaquant, et blessé 50 personnes, les décrivent également comme une « attaque terroriste ». Sur la photo : un policier fait un geste alors qu’il monte la garde devant la maison dans le quartier de Schaerbeek à BruxellesIls incluent un article publié le lendemain des meurtres, intitulé « Attaque de Londres : quatre morts dans l’attaque terroriste de Westminster ». D’autres articles utilisant les mots « attaque terroriste » pour décrire les meurtres de Westminster sont parus en septembre et octobre 2018, ainsi qu’en mars et novembre 2021.Un autre rapport de juillet 2015 sur les attentats à la bombe du 7 juillet qui ont tué 52 personnes à Londres le 7 juillet 2005, les a décrits comme « la pire atrocité terroriste sur le sol britannique ». En juillet de l’année dernière, un titre de la BBC faisait référence aux « attentats terroristes de Paris » en relation avec la condamnation de 20 hommes pour des fusillades qui ont fait 130 morts dans la capitale française en novembre 2015. Pas plus tard que le 3 juin de cette année, un reportage de la BBC faisait état de la mémoire des victimes de « l’attentat terroriste du pont de Londres » à l’occasion de son sixième anniversaire. Mais MailOnline n’a trouvé aucun titre de la BBC faisant référence aux massacres du Hamas en Israël comme « une attaque terroriste » ou un « acte de terreur ». Lord Eric Pickles, président des Amis conservateurs d’Israël, a déclaré : « Notre radiodiffuseur national est devenu une source d’embarras nationale à cause de son refus de qualifier de terroriste du Hamas. « La seule raison pour laquelle ils ne qualifient pas le Hamas de terroriste est tout simplement leur entêtement. Une grande foule de manifestants a applaudi et scandé devant la BBC Broadcasting House à Londres lundi pour protester contre le fait que la société ne qualifie pas le Hamas de « terroriste ». La foule a crié « Hamas, terroristes » et « BBC, honte à vous » en attendant d’entendre les orateurs.

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