Customize this title in frenchSarajevo en tête de la liste des villes les plus polluées du monde

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La qualité de l’air dans la capitale de la Bosnie-Herzégovine est si mauvaise que certaines personnes portent des masques.

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Un brouillard toxique intermittent s’abat sur Sarajevo depuis décembre.

Pourtant, mercredi, IQAir a évalué l’indice de qualité de l’air (IQA) de la ville des Balkans à 301, la plaçant ainsi dans la catégorie « très malsaine ».

La capitale de la Bosnie-Herzégovine est ainsi devenue la ville la plus polluée du monde, suivie de près par la ville indienne de Calcutta.

IQAir, un moniteur suisse, collecte des données auprès de sources gouvernementales et de moniteurs de qualité de l’air pour mesurer la qualité de l’air dans leurs enquêtes.

Le problème de la qualité de l’air en Bosnie-Herzégovine n’est pas nouveau. En 2020, l’OMS a déclaré que le pays était l’un des pays les plus pollués d’Europe, avec une qualité de l’air parmi les pires au monde.

La situation s’est encore détériorée depuis lors, les émissions et la pollution ayant augmenté de 3 % par an au cours de la dernière décennie. Cela est dû à la prolifération d’immeubles de grande hauteur qui bloquent la circulation de l’air, à l’utilisation de véhicules anciens et très polluants et à une dépendance accrue au charbon pour le chauffage de la ville.

Les autorités locales ont récemment reconnu la pollution atmosphérique comme un problème aigu et ont commencé à prendre des mesures pour le résoudre, notamment en améliorant progressivement les transports publics et en augmentant le nombre de bâtiments économes en énergie.

Sarajevo fait partie des 100 villes ciblées par l’UE pour contribuer à atteindre zéro émission nette d’ici la fin de la décennie.

Bruxelles élabore actuellement des plans d’action et d’investissement pour la neutralité climatique dans tous les secteurs, y compris l’énergie et les transports, à travers un processus impliquant le secteur privé, les citoyens et les organismes de recherche.

Des niveaux élevés de pollution atmosphérique frappent d’autres villes de Bosnie en raison de la dépendance du pays au charbon et au bois pour le chauffage et au charbon pour la production d’électricité.

Selon la Banque mondiale, environ 3 300 personnes meurent prématurément chaque année en Bosnie à cause de l’exposition à la pollution atmosphérique, ce qui représente 9 % de la mortalité annuelle totale. Environ 16 % de ce fardeau sanitaire est supporté par Sarajevo et la ville de Banja Luka, au nord-ouest du pays.

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