Customize this title in frenchUn rapport de l’ONU estime que le meurtre d’un journaliste par Israël au Liban constitue une violation flagrante du droit international

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Lors d’un incident tragique l’année dernière, le journaliste de Reuters Issam Abdallah a été tué au Liban lorsqu’un char israélien a tiré deux balles de 120 mm sur un groupe de journalistes. Une enquête de l’ONU vient de révéler que cela constitue une violation du droit international.

Une violation flagrante

L’enquête, menée par la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), a conclu que le char israélien Merkava avait ciblé des « journalistes clairement identifiables » sans aucun échange de tirs le long de la frontière entre Israël et le Liban pendant plus de 40 minutes avant l’incident.

« Les tirs sur des civils, en l’occurrence sur des journalistes clairement identifiables, constituent une violation de la résolution 1701 (2006) du Conseil de sécurité de l’ONU et du droit international », indique le rapport de la FINUL du 27 février.

Reuters, qui a eu connaissance du rapport de la FINUL, cite en outre : « Il semblerait qu’il n’y ait pas eu d’échange de tirs à travers la Ligne bleue au moment de l’incident. La raison des frappes contre les journalistes n’est pas connue. « .

Les obus de char qui ont tué Issam Abdallah ont également blessé six autres journalistes présents sur les lieux.

Tsahal réfute les accusations

Répondant aux questions sur le rapport de la FINUL, le porte-parole des Forces de défense israéliennes (FDI), Nir Dinar, a déclaré que Tsahal avait riposté à une attaque du Hezbollah près de Hanita le 13 octobre.

« L’armée israélienne déplore tout préjudice causé aux parties non impliquées et ne tire pas délibérément sur les civils, y compris les journalistes », a souligné Dinar.

« L’armée israélienne considère la liberté de la presse comme étant de la plus haute importance, tout en précisant qu’être dans une zone de guerre est dangereux. » Il a également déclaré que le mécanisme d’enquête et d’évaluation de l’état-major, qui examine les événements exceptionnels et décide si une affaire justifie une enquête pénale, continuera d’examiner l’incident.

Cependant, Dinar a souligné que l’armée israélienne ne cible pas intentionnellement les civils, y compris les journalistes, et considère la liberté de la presse comme primordiale.

Reuters appelle à l’action

La rédactrice en chef de Reuters, Alessandra Galloni, a demandé des explications à Israël et demandé des comptes aux responsables.

Le rapport de la FINUL, selon Reuters citant deux sources bien informées, a été soumis aux Nations Unies le 28 février et a été partagé avec les militaires libanais et israéliens.

« (L’armée) israélienne devrait mener une enquête sur l’incident et un examen complet de ses procédures à l’époque pour éviter une répétition », recommande-t-il.

« Tsahal devrait partager les conclusions de son enquête avec la FINUL. »

(Avec la contribution des agences)

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