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Une commission parlementaire a conclu que le président Emmanuel Macron avait aidé à établir la société de taxis Uber en France par le biais d’une relation « privilégiée » avec la plateforme en ligne.
Macron était ministre de l’Économie dans le gouvernement du président François Hollande au moment où Uber tentait d’accéder à la France.
L’enquête a révélé qu’il avait conclu un « accord secret » avec la société américaine pour renoncer à son application controversée Uber Pop en échange d’une simplification des conditions requises pour obtenir un permis de voiture avec chauffeur (VTC).
Le rapport poursuit en indiquant que « la société américaine a réussi à concurrencer déloyalement les taxis en faisant fi de toutes les exigences légales et en faisant un lobbying agressif auprès des décideurs publics ».
L’enquête a été déclenchée par ce qui est devenu connu sous le nom de « Uber Files » – la fuite de 124 000 documents internes divulgués au journal britannique The Guardian par Mark McGann, un ancien lobbyiste d’Uber.
La commission a lancé son enquête il y a six mois et a entendu 120 personnes, dont deux anciens premiers ministres, Bernard Cazeneuve et Manuel Valls, ainsi que d’anciens dirigeants d’Uber, pour tenter d’identifier les actions d’Uber en France entre 2014 et 2017.
Douze des membres de la commission d’enquête ont approuvé le rapport final – tous issus des Nupes, du groupe Liot ou du RN – mais les dix députés de la Renaissance (parti de Macron) et leurs alliés, ainsi que l’unique député LR, se sont abstenus. .