Customize this title in frenchUnis avec Israël, l’Allemagne et la France envisagent une médiation au Moyen-Orient

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Alors que les partis allemands de gauche à droite assurent Israël de leur soutien dans une rare déclaration commune, Macron a déclaré jeudi qu’Israël était pleinement en droit de répondre militairement de manière « ferme et juste » à l’attaque terroriste du Hamas et que ceux qui justifier le terrorisme au nom de la défense des droits des Palestiniens « commettent une erreur morale, politique et stratégique ».

En Allemagne, les députés ont voté à l’unanimité jeudi une résolution exprimant leur « pleine solidarité » avec Israël et appelant le gouvernement à lui apporter un « soutien sans équivoque » suite à l’attaque du Hamas, qui a conduit à la déclaration de guerre d’Israël ce week-end.

Avant le vote, Scholz et le gouvernement avaient dénoncé les attaques à plusieurs reprises. Ils ont déclaré leur soutien à la réponse militaire d’Israël, arguant que le pays avait le droit de se défendre contre les menaces existentielles « par le droit international ».

« Pour l’instant, il n’y a qu’une seule position pour l’Allemagne, et c’est la position aux côtés d’Israël (…) La sécurité d’Israël est une priorité fondamentale de l’Etat allemand », a déclaré Scholz aux députés du Parlement jeudi.

Scholz a également pointé du doigt le gouvernement islamiste iranien, « sans lequel le Hamas n’aurait jamais pu mener son attaque ».

Il a exprimé sa crainte que le conflit ne s’aggrave encore si l’organisation chiite libanaise Hezbollah, un proche allié de l’Iran, s’implique.

« Il existe une menace d’une tempête de feu désastreuse dont les ramifications pourraient atteindre l’Afrique du Nord et le Yémen », a-t-il prévenu.

Ces commentaires interviennent deux jours seulement après que le principal diplomate de l’UE, Josep Borrell, a accusé les Forces de défense israéliennes (FDI) de violer le droit international en imposant un blocus total de Gaza. La petite bande de terre palestinienne a été le théâtre de bombardements incessants d’Israël depuis le week-end – faisant des milliers de morts des deux côtés.

La France aussi

Le président français Emmanuel Macron a réitéré jeudi à la télévision nationale son plein soutien au régime israélien, affirmant qu’il avait « assuré Israël et son peuple de [his] une solidarité sans faille ».

« Nous […] « Sachez dans notre chair à quoi ressemble cette douleur » du terrorisme, a-t-il déclaré, faisant référence à la série d’attentats terroristes subis par la France sur son sol de 2015 à 2016, dont la plupart ont été perpétrés par l’État islamique.

« Le Hamas cherche avant tout la destruction et la mort du peuple d’Israël », a déclaré Macron, affirmant que les attaques du groupe terroriste avaient mis la population de Gaza en grand danger de manière « criminelle et cynique ».

Macron a ajouté qu’une « action ferme et juste » [military] La réponse » d’Israël est légitime, même si les civils doivent être protégés.

Dans une critique à peine voilée du leader d’extrême gauche de La France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, qui a été accusé Trop indulgent avec le Hamas, Macron a condamné toute tentative de « justifier » le terrorisme pour soutenir la cause palestinienne.

« La République sera là pour protéger [French Jews]et il sera impitoyable envers tous les fauteurs de haine », a insisté le président, appelant le pays à « rester solidaire ».

Appels de médiation

Alors que Scholz a promis que la solidarité de l’Allemagne « ne se limitait pas aux paroles », les tentatives du gouvernement pour empêcher un débordement et libérer les otages internationaux détenus par le Hamas se sont jusqu’à présent limitées à des appels à la modération et au lobbying auprès des parties les plus proches du conflit.

Macron a confirmé que la France travaillait en étroite collaboration avec les pays du Moyen-Orient, les États-Unis et ses partenaires européens pour coordonner l’aide humanitaire, assurer les rapatriements et éviter une « catastrophe tragique ». [violent] spirale dans la région ».

Il a réitéré l’engagement de la France à trouver une solution « pacifique » à un conflit qui dure depuis plus de 70 ans : il doit y avoir « des garanties essentielles pour la sécurité d’Israël et un État palestinien ». C’est la ligne que la France a toujours défendue. [and] continue de défendre ».

Scholz a annoncé qu’il était en contact étroit avec le président égyptien Abdel Fattah al-Sisi et qu’il s’entretiendrait avec le président turc Recep Tayyip Erdoğan.

Plus controversé, il a également accueilli jeudi l’émir du Qatar pour une visite d’État, prévue avant l’attaque.

Le Qatar est un acteur majeur du conflit, soupçonné de soutenir les activités du Hamas dans la région. Les médias internationaux ont rapporté que le chef du Hamas, Ismail Haniyeh, était basé au Qatar.

« Il est important d’avoir de telles conversations à ce stade [with the chancellor] pour lui dire d’arrêter d’accommoder et de financer le Hamas », a plaidé jeudi au Parlement Armin Laschet, un haut législateur du parti de centre-droit CDU/CSU.

Dans un changement majeur par rapport à l’ordre du jour initial, Scholz a confirmé que discuter du rôle de médiateur du Qatar serait l’un des objectifs clés de la réunion.

Le gouvernement a également tenu à souligner que l’Allemagne prenait des mesures fermes contre les activités liées au Hamas en réponse aux célébrations publiques organisées ce week-end par certaines organisations pro-palestiniennes en faveur des attaques du Hamas.

Scholz a annoncé l’interdiction de toutes les activités célébrant les crimes du Hamas en Israël, y compris l’utilisation des symboles du Hamas, l’éloge des meurtres et des homicides involontaires et l’incendie du drapeau israélien.

Jeudi, il a annoncé l’interdiction du groupe pro-palestinien Samidoun, un réseau de solidarité avec les prisonniers palestiniens.

(Nick Alipour et Théo Bourgery-Gonse | Euractiv.de et Euractiv.fr)

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