Les familles rapatriées de l’État islamique pourraient faire l’objet d’ordonnances de contrôle


Le commissaire de l’AFP, Reece Kershaw, a confirmé ce matin aux estimations du Sénat que des enquêtes étaient en cours pour déterminer si l’une des femmes avait enfreint les lois australiennes ou devrait être soumise à une surveillance plus stricte dans la communauté.

Une ordonnance de contrôle verrait les femmes restreintes en termes de mouvement et de communication, et obligées de porter un dispositif de suivi.

La police a révélé qu’une évaluation avant l’arrivée des femmes avait conclu que le seuil légal pour une telle ordonnance n’avait pas été atteint.

« Nous menons actuellement des enquêtes actives sur ces questions », a déclaré Kershaw au comité sénatorial.

« Certains d’entre eux peuvent ou non être facturés. »

Kershaw a déclaré que les 17 femmes et enfants renvoyés avaient coopéré avec la police et a exprimé sa confiance dans le cadre de surveillance surveillant le groupe.



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