Les tempêtes de verglas montrent l’inhumanité de Los Angeles vis-à-vis des sans-abrisme


Pour l’éditeur: Pourquoi quelqu’un voudrait-il détruire un refuge et un espace productif pour les résidents des quartiers défavorisés ? La « maison blanche » de Stephanie Williams n’était pas seulement une entreprise admirable, mais essentielle pour ces naufragés opprimés de Los Angeles.

Et la ville l’a démoli. Pourquoi? Peut-être parce que c’était un embarras pour les politiciens irresponsables qui ont essayé de gérer ce problème pendant des décennies.

Williams est un brillant exemple d’autonomie, d’esprit d’entreprise et tout simplement de moxie. Elle a démontré que les citoyens privés peuvent faire un travail bien meilleur et plus efficace que les politiciens. Malheureusement, Williams a été victime de la vieille énigme « arrête de faire un si bon travail, tu me fais mal paraître ».

Rick Salomon, Lac Balboa

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Pour l’éditeur: La photographie exquise et profondément émouvante de la photographe du Times Francine Orr sur la première page de l’édition imprimée du samedi de Maurice, un sans-abri enveloppé dans une couverture semblable à du papier d’aluminium pendant les récentes tempêtes de froid, était plus déchirante et puissante que « Desperate Man » de Gustav Courbet. -portrait.

Orr a capturé un symbole puissant de chaque être humain luttant pour survivre dans les machinations rusées et méchantes de Mère Nature. Sa photo montre également les conditions pénibles endurées par les sans-abri dans les rues de la grande ville de ma naissance.

Je reste effrontément romantique que sur le « champ de bataille » de Los Angeles, aucun de nos sans-abri ne doit échouer et mourir sous les plus minces bâches de papier d’aluminium de la vie.

Michael A. Meng, Fullerton

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Pour l’éditeur: Deux histoires sont apparues côte à côte sur la première page de votre section Californie du 25 février. Dans l’un, les gens « se délectaient de la neige » ; dans l’autre, à cause de « la pluie battante et des températures glaciales », les sans-abri « ont simplement enduré ».

Quelle juxtaposition !

Onze mille lits d’hébergement pour les 48 000 personnes qui vivent dans les rues du comté de LA ne suffisent pas. Pourquoi nous, en Californie, qui sommes à l’abri des éléments, permettons-nous que cela se produise ?

C’est une question rhétorique.

Ronna Siegel, Van Nuys



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