Sofia Coppola : ‘Mon moment le plus embarrassant ? Faire la couverture d’un magazine qui disait : « A-t-elle ruiné Le Parrain ? » | Sophie Coppola


Bnée à New York, Coppola, 51 ans, a débuté sa carrière d’actrice, incarnant notamment Mary Corleone dans Le Parrain III, réalisé par son père, Francis Ford Coppola. Elle est ensuite devenue réalisatrice et a remporté l’Oscar du meilleur scénario original pour Lost in Translation en 2003. Son film Somewhere de 2010 a remporté le Lion d’or au festival international du film de Venise, et son remake de The Beguiled a remporté son meilleur réalisateur à Cannes en 2017. Son premier long métrage, The Virgin Suicides de 1999, est disponible en 4K UHD, Blu-ray, DVD et numérique. Elle est mariée, a deux enfants et vit à New York.

Quand as-tu été le plus heureux ?
En conduisant ma décapotable sur le Bay Bridge quand j’avais 18 ans, en écoutant Thinking of You de Sister Sledge.

Quelle est ta plus grande peur?
Être coincé dans un projet qui ne me défie pas, ou fidèle à ma nature.

Quelle est votre première mémoire?
La jungle des Philippines pendant le tournage d’Apocalypse Now.

Quel est le trait que vous déplorez le plus en vous-même ?
Être dur avec moi-même. Je ne veux pas transmettre ça à mes filles, alors j’essaie d’arrêter.

Quel est le trait que vous déplorez le plus chez les autres ?
Manque de sincérité.

Quel a été votre moment le plus embarrassant ?
Faire la couverture d’un magazine à 18 ans avec le slogan : « A-t-elle ruiné Le Parrain ? »

En dehors d’une propriété, quelle est la chose la plus chère que vous ayez acheté?
Une peinture d’Elizabeth Peyton.

Quel est votre bien le plus précieux ?
Une photo Helmut Newton de Charlotte Rampling, dédicacée par lui.

Qu’est-ce qui vous rend malheureux ?
Pantalon de yoga dans la rue.

Si vous pouviez redonner vie à quelque chose d’éteint, que choisiriez-vous ?
Le quartier des discothèques de New York.

Qu’est-ce qui te fait peur dans le fait de vieillir ?
Perdre ses amis.

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Quelle est votre star préférée ?
Joe Strummer.

Que voulais-tu être quand tu grandissais ?
Un éditeur de magazine comme Diana Vreeland.

Choisiriez-vous la gloire ou l’anonymat ?
L’anonymat, avec juste assez de notoriété pour obtenir une bonne réservation de table.

Quel est le dernier mensonge que vous ayez dit ?
Je ne mens pas : mon père m’a lavé le cerveau quand j’étais enfant pour ne jamais mentir, et d’une manière ou d’une autre, cela a fonctionné.

Que dois-tu à tes parents ?
Une vie de créativité.

À qui aimeriez-vous le plus dire pardon, et pourquoi ?
Pour une fille avec qui nous étions méchants en première année.

Quel ou qui est le plus grand amour de votre vie ?
Mon mari et ma vocation.

Quels mots ou expressions abusez-vous le plus ?
« C’est trop ringard ? » (Quand je travaille.)

Quand avez-vous pleuré pour la dernière fois et pourquoi ?
Deux semaines avant le tournage – après l’abandon d’une partie de notre financement – ​​lorsque les producteurs ont dit que je devais supprimer une semaine de scènes de mon scénario. J’étais sur place et loin de mes filles [currently in middle and high school] qui, selon moi, avaient besoin d’une mère.

Que considérez-vous comme votre plus grande réussite ?
Faire des films exactement comme je le voulais.

Quelle est la leçon la plus importante que la vie vous ait apprise ?
Pour suivre votre chemin et ne pas trop vous soucier de ce qu’il faut faire; une chose mène à la suivante, et vous vous retrouvez là où vous êtes censé être.



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