Customize this title in french Critique de Judi Love – une tournée solo couronne une fille drôle bien faite | Comédie

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SParfois, lors d’un concert de stand-up, l’environnement élève le matériel, et le contexte est, sinon tout, alors beaucoup. Il s’agit de la première tournée britannique de Judi Love, et ce soir, elle la ramène chez elle à Hackney. Le week-end du couronnement, ce qui s’ensuit est un spectacle de stand-up en deux parties pour une partie du couronnement de la fille locale bien faite, maintenant revenue avec une brassée d’histoires humbles sur la fréquentation de la royauté et l’achat de chaussures exorbitantes. Ce qui le rend amusant, c’est la connexion palpable avec le public, ainsi que l’expressivité et la maîtrise que notre hôte apporte à un matériel pas toujours exceptionnel.

Ce flair expressif est mis en évidence tôt, lorsque Love commence l’histoire de sa vie avec un acte illustrant la réunion applaudie de l’ovule et du sperme de ses parents vieillissants. Celui-ci met un vrai marqueur: hautain et impassible est peut-être le mode par défaut de Love, mais elle n’est pas en reste pour la comédie physique, peignant cette scène de conception anthropomorphisée avec précision ainsi qu’un œil avisé pour le drôle.

Des éclats de rire… Judi Love.
Des éclats de rire… Judi Love. Photographie : Hannah Wilson

Il définit également un modèle, alors que Love se concentre sur la débauche et le corps (« Elle n’est pas comme ça sur Loose Women ») avec des routines sur les tests de frottis, « les culottes qui devraient être rétrogradées en culottes menstruelles », et ses enfants interrompent quand elle est se raser les poils pubiens. Plus tard, les décors de sa vie amoureuse trouvent Judi incapable de résister à « bonne bite, mauvais gars », dont elle détaille de manière amusante le (mauvais) comportement, puis offrant les délices du « sexe spontané dans une relation à long terme », où l’excitation mutuelle mécanique fait n’empêche pas une conversation sur Hannah dans les RH.

Une grande partie de cela nous confine au stock de terrain debout. L’amour n’innove pas, mais elle insuffle une nouvelle vie à ces scénarios bien usés, un exploit respiratoire auquel les éclats de rire du public aident sûrement. Plus tard, elle s’adresse à sa nouvelle célébrité, avec une visite au palais de Buckingham (une caricature amusante exagérée de diction chic) ​​et une anecdote sur l’achat de Jimmy Choos pour son concert Royal Variety Performance. Ces sections s’efforcent d’affirmer le manque d’étoiles de Love, tout en démontrant le contraire – ce qui pourrait être rebutant, sauf pour un public de la ville natale désireux de l’embrasser, et joyeusement, comme l’un des leurs. Avec ce Love-in local, j’ai trouvé amusant d’être emporté.

Au Lowry, Salford Quays, 7 mai; et en tournée.

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