Customize this title in french salon V&A de Paris se met à l’art des liens anglo-français | Art

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Qu’on le veuille ou non, l’exposition parisienne sur les trésors médiévaux du V&A contient un message opportun (l’exposition parisienne vise à dissiper le mythe de l’Angleterre « primitive » au Moyen Âge, 25 juin). Elle est en partie honteuse, en ce qu’elle nous rappelle une époque où, à cause d’une idéologie intransigeante, le patrimoine artistique anglais était, selon le commissaire de l’exposition, James Robinson, « impitoyablement décimé » et, selon les mots du recteur du XVIe siècle Michael Sherbrook, « il semblait que chaque personne avait l’intention de… gâcher ce qu’il pouvait ». Et en partie optimiste, en ce qu’elle nous rappelle aussi qu’à l’idéologie a succédé une approche plus rationnelle des arts et de notre culture en général.

En témoignant de « la relation riche et complexe » entre la France et l’Angleterre à laquelle Marie Lavandier du Centre des monuments nationaux de France fait référence, l’exposition pourrait-elle refléter une volonté des deux côtés de la Manche de mettre fin aux dégradations systématiques que continue d’infliger le Brexit ? idéologie?
André Hillier
Londres

La découverte des efforts artistiques de l’Angleterre au Moyen Âge n’est pas entièrement nouvelle. Dans son livre de 1931 Le sens de l’art, Herbert Read a déclaré : « Au cours des XIIe et XIIIe siècles, il est presque impossible de faire la distinction entre les arts de France et d’Angleterre. Mais peu à peu, les différences infimes s’accentuent… Une qualité que je ne peux décrire que comme la douceur s’insinue dans l’art anglais – une tendre perception de la beauté des choses intimes.

Et à propos de la Réforme, il a observé: « Ce que la peinture, la poésie, la musique et la danse anglaises ont perdu par ce fléau affreux et vindicatif de l’esprit, même l’imagination ne peut le concevoir. » Heureusement, la National Gallery de Londres utilise depuis longtemps le Wilton Diptych dans son matériel publicitaire – et l’œuvre elle-même attire toujours une foule de spectateurs intéressés.
David Redshaw
Saltdean, East Sussex

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