Customize this title in frenchLa présidence belge propose une refonte du Conseil de l’UE sur la diplomatie numérique

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLa présidence belge du Conseil des ministres de l’UE a proposé de modifier la structure interne de l’institution européenne chargée des questions numériques afin que la voix de l’Europe soit mieux entendue au niveau international. Le Conseil est divisé en plus de 150 groupes de travail, organes préparatoires où le travail technique est effectué avant l’approbation politique. Le fait que la structure interne du Conseil soit insuffisamment placée pour traiter des questions numériques est un thème récurrent au sein de l’institution qui représente les gouvernements européens au niveau de l’UE. Le principal organisme technique chargé de la politique numérique est le Groupe de travail sur les télécommunications, héritage de l’ère pré-Internet. Le groupe de travail horizontal sur les questions de cybersécurité a été créé en 2016 pour traiter plus spécifiquement des questions de cybersécurité. Cependant, le caractère horizontal des technologies numériques signifie que les dossiers législatifs dans ce domaine sont souvent dispersés entre plusieurs groupes de travail, ce qui limite la formation d’une approche cohérente des questions numériques. Par exemple, la loi sur les services numériques et la loi sur les marchés numériques, deux des dossiers numériques les plus influents de ce mandat, ont été confiées respectivement au groupe de travail sur le marché intérieur et au groupe de travail sur la compétitivité. La Belgique n’est que le dernier pays à tenter de rationaliser le dispositif actuel, la dernière tentative de la présidence tchèque ayant eu lieu au second semestre 2022. Même s’il existe une inertie et une résistance significatives au changement du cadre existant, la présidence belge pourrait avoir de meilleures chances compte tenu des prochaines élections européennes et du fait que le Parlement européen est en train d’adopter une réforme globale de ses organes internes. Les pays de l’UE envisagent de renforcer leur coopération en matière de diplomatie numérique Lors d’une réunion du groupe de travail sur les télécommunications et la société de l’information mercredi (15 février), les gouvernements européens ont semblé tous convenir que la dimension numérique de la politique étrangère de l’UE devait être renforcée, mais qu’il restait encore à décider comment y parvenir. La proposition belge, vue par Euractiv, qui doit être discutée lors d’une réunion conjointe du groupe de travail Cyber ​​​​et Télécoms vendredi (12 janvier), vient de la dimension extérieure, car le contexte actuel est considéré comme entravant le rôle de l’UE en tant que leader mondial. régulateur numérique autoproclamé. Promouvoir une diplomatie numérique En juillet 2022, le Conseil a adopté des conclusions appelant à ce que la diplomatie numérique fasse partie intégrante de l’action extérieure de l’UE. Les discussions se sont accélérées au début de l’année dernière lorsque plusieurs États membres ont fait pression pour que l’agence des télécommunications des Nations Unies, l’Union internationale des télécommunications (UIT), ouvre un bureau à Bruxelles. Même si l’idée d’un bureau de l’UIT n’a pas fait son chemin, le débat général sur la manière de mieux assurer la coordination internationale des pays de l’UE a été maintenu grâce à l’insistance de pays comme la Pologne, le Portugal et la Lituanie. « Les opportunités pour l’UE d’avoir un impact et un rôle forts sont nombreuses, en s’appuyant sur sa position de leader mondial dans l’élaboration de mesures réglementaires, son rôle d’organisme de normalisation de confiance, son implication multilatérale et multipartite, les efforts en cours pour soutenir les partenaires. dans le monde et de véritablement lutter contre la fracture numérique», peut-on lire dans la note belge. Le document énumère une série d’options résultant de consultations informelles menées par la Belgique avec les délégations nationales, le secrétariat du Conseil, la Commission et le Service européen pour l’action extérieure (SEAE). «Une nette majorité d’interlocuteurs ont exprimé le sentiment que la situation et l’approche actuelles nuisent à la défense des intérêts européens. L’exercice actuel visant à réfléchir à une meilleure approche a donc été explicitement salué », poursuit la note. Les problèmes signalés sont la fragmentation des sujets abordés dans les initiatives internationales telles que le Conseil du commerce et de la technologie UE-États-Unis, sans qu’aucun organisme technique ne s’approprie clairement la diplomatie numérique, ce qui entraîne une implication limitée des États membres. La nature technique des technologies numériques et la diversité des forums internationaux traitant de ces questions sont considérées comme augmentant la complexité et le besoin de coordination. Ainsi, la proposition belge est centrée sur les principes d’appropriation politique, d’engagement efficace des pays de l’UE, de cohérence entre les politiques internes et externes et de suivi du développement international. Concernant le processus, les Belges suggèrent d’avoir des débats d’orientation sur la diplomatie numérique au Conseil des Affaires étrangères et au Conseil des Télécoms, des discussions régulières au niveau des ambassadeurs et des temps consacrés au débat sur l’agenda international au sein des groupes de travail. La note demande également à la Commission et au SEAE d’informer systématiquement davantage les délégations nationales sur la dimension extérieure des affaires numériques, en fournissant un calendrier des engagements à venir dans les initiatives multilatérales, internationales, régionales et bilatérales. L’agence de normalisation des télécommunications de l’ONU réfléchit à un nouveau bureau à Bruxelles Cet article a été mis à jour avec une correction sur le rôle de la Conférence européenne des postes et télécommunications. L’Union internationale des télécommunications (UIT) des Nations Unies envisage d’ouvrir un nouveau bureau à Bruxelles au milieu des appels des pays de l’UE à représenter … Options de présentation En termes de cadre institutionnel, le document de la présidence présente quatre options. Le premier envisage de formaliser l’acquis actuel, avec le groupe de travail Cyber ​​​​en charge de la diplomatie numérique et celui des télécommunications en charge des autres questions numériques externes. Le deuxième scénario centraliserait toutes les discussions numériques, y compris sur la diplomatie, au sein du groupe de travail Télécom, qui serait alors divisé en deux sous-groupes axés respectivement sur les dossiers législatifs internes et les aspects externes. Le troisième paramètre reflète le deuxième mais déplace toutes les actions numériques externes vers le groupe de travail Cyber. Enfin, les Belges réfléchissent à la création d’un nouveau groupe de travail, car « en nous concentrant sur ces sujets internationaux au sein d’un groupe de travail spécifique, nous pourrions permettre l’intégration des sujets numériques dans la politique étrangère de l’UE ». Cette option nécessiterait une décision formelle des ambassadeurs de l’UE dotés d’un mandat clair. Selon la note, à terme, ce nouveau groupe de travail pourrait également absorber le portefeuille de la cyberdiplomatie et inclure la nomination d’un coordinateur numérique sur le modèle de celui de la lutte contre le terrorisme. [Edited by Nathalie Weatherald] En savoir plus avec Euractiv La Commission européenne va examiner le partenariat Microsoft-OpenAILa Commission européenne a annoncé mardi (9 janvier) qu’elle examinait la nature de la relation entre la multinationale technologique Microsoft et le fabricant de ChatGPT OpenAI, alors que la récente éviction et la réintégration du PDG de ce dernier ont mis en évidence les liens étroits entre les deux sociétés. !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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