Customize this title in frenchLe G7 soutient l’utilisation des avoirs russes gelés pour financer la reconstruction de l’Ukraine

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Sept des économies les plus puissantes du monde, dont les États-Unis, étudient les moyens d’exploiter les bénéfices des avoirs russes gelés pour aider l’Ukraine, ravagée par la guerre.

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Les représentants du G7, sept des économies les plus fortes du monde, ont publié une déclaration commune lors de la conférence Banque mondiale-FMI à Marrakech, annonçant que ils envisageraient des moyens de dépenser les revenus des avoirs russes gelés pour la reconstruction de l’Ukraine.

« Nous étudierons comment les revenus extraordinaires détenus par des entités privées et provenant directement des actifs souverains russes immobilisés (…) pourraient être utilisés pour soutenir l’Ukraine, son redressement et sa reconstruction, conformément aux lois applicables », indique le communiqué.

Le déménagement intervient un jour après La secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a déclaré qu’elle soutenait « en exploitant les recettes exceptionnelles des actifs souverains russes immobilisés dans des chambres de compensation en particulier et en utilisant ces fonds pour soutenir l’Ukraine. »

Yellen avait exprimé plus tôt en septembre son soutien à l’idée que Moscou devrait supporter les coûts des dommages causés par l’invasion de son voisin.

Le coût de la reconstruction de l’Ukraine

Les dégâts dans ce pays déchiré par la guerre sont estimés à des centaines de milliards de dollars – une somme qui augmente chaque jour.

Une précédente évaluation conjointe par le gouvernement ukrainien, le Groupe de la Banque mondiale, la Commission européenne et les Nations Unies, a estimé que le coût de la reconstruction et du redressement en Ukraine a atteint 411 milliards de dollars (l’équivalent de 383 milliards d’euros) au cours de l’année qui a suivi l’invasion à grande échelle de la Russie. 24 février 2022.

Cela représente 2,6 fois le PIB estimé du pays pour 2022.

Le coût global pourrait atteindre 1 000 milliards de dollars, selon la durée de la guerre, son intensité et sa répartition géographique, selon un groupe de réflexion indépendant. Conseil des relations extérieures.

Quelle part des coûts les actifs russes pourraient-ils couvrir ?

Depuis le début de la guerre, Washington a confisqué les avoirs utilisés dans des activités criminelles, mais les avoirs en question sont une autre affaire ; les États-Unis et leurs alliés occidentaux ont gelé plus de 300 milliards de dollars dans les actifs en devises de la banque centrale russe par le biais de sanctions.

Les gouvernements qui détiennent ces actifs russes immobilisés sont ceux dont les contribuables fournissent des aides à l’Ukraine depuis le début de la guerre.

La question de savoir comment s’emparer des avoirs russes est toutefois délicate. Certains responsables européens ont demandé leur saisie totale, mais d’autres ont soulevé de sérieuses préoccupations juridiques.

Les actifs appartiennent légalement à la Russie, mais ils sont détenus à l’étranger, avec une partie importante en Europe et une autre à la Federal Reserve Bank de New York.

L’Europe souhaite le soutien politique du G7 pour imposer une taxe exceptionnelle sur 200 milliards d’euros d’actifs de la banque centrale russe dans les banques européennes, plutôt que de confisquer les actifs sous-jacents eux-mêmes.

Cette solution devrait rapporter 3 milliards d’euros de bénéfices exceptionnels.

La Belgique déterminée à intensifier ses efforts

Sur les 200 milliards d’euros détenus en Europe, environ 125 milliards d’euros sont gérés par la société belge de services financiers Euroclear.

La Belgique a l’intention d’aller de l’avant et de collecter 2,3 milliards d’euros d’impôts sur les avoirs russes gelés et de les utiliser pour aider à la reconstruction de l’Ukraine, a déclaré mercredi un porte-parole du Premier ministre belge.

La Commission européenne a annoncé en juillet qu’elle présenterait une proposition sur l’existence d’une manière juridiquement rationnelle d’utiliser les fonds une fois que le G7 aurait accepté le principe de la mesure.

Si l’UE allait de l’avant avec une proposition formelle concernant l’option exceptionnelle, elle nécessiterait le soutien de tous les États membres avant de pouvoir être adoptée.

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