Customize this title in frenchLe gouvernement suisse engage de nouveaux conseillers pour l’accord avec le Credit Suisse

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Crédit Suisse

Le gouvernement suisse a orchestré une prise de contrôle du Credit Suisse par UBS en mars.

(Photo : IMAGO/Future Image)

Zurich Le gouvernement suisse engage un autre conseiller dans le cadre des garanties pour la reprise d’urgence du Credit Suisse. Le ministère des Finances a confié à Alvarez & Marsal Suisse un mandat correspondant, selon la plateforme d’approvisionnement de l’État Simap.ch lundi. Le département du Trésor et les porte-parole d’Alvarez & Marsal ont confirmé la commande.

Mi-mars, le gouvernement suisse a orchestré le rachat du Credit Suisse par son grand rival UBS afin de sauver la deuxième banque suisse, qui était au bord de l’insolvabilité, de la faillite. Une partie du plan de sauvetage de l’État pouvant atteindre 209 milliards de francs est une garantie de la Confédération à UBS pour couvrir les pertes éventuelles résultant de la vente d’actifs du Credit Suisse difficiles à évaluer. Ces garanties ont un volume de neuf milliards de francs suisses.

« Pour la mise en œuvre contractuelle de la garantie, la Confédération a besoin d’un conseil et d’un soutien à court terme d’un point de vue économique », déclare Simap.ch. Comme la fusion des banques concernées doit être mise en œuvre très rapidement, la garantie de protection contre les pertes doit être préparée immédiatement. Il y a aussi des contraintes de temps lorsqu’il s’agit de conseiller le gouvernement fédéral sur la fusion. Alvarez & Marsal apportent une expérience pertinente dans la gestion des banques mondiales et de tels portefeuilles.

>> Lire ici : Selon les experts, UBS achète à bas prix un gigantesque pouvoir de marché

Un porte-parole du département du Trésor a déclaré qu’Alvarez & Marsal conseillera le ministère sur les négociations pour rédiger un contrat détaillé avec UBS et aidera à la liquidation des actifs. Selon l’accord précédent, UBS supportera les premiers 5 milliards de francs de pertes éventuelles résultant de la vente prévue des actifs. Ce n’est qu’alors que le gouvernement injecte de l’argent.

Entre autres choses, le contrat devrait désormais réglementer qui supporte les pertes qui dépassent 14 milliards de francs et qui perçoit les bénéfices éventuels de ces ventes. Selon le porte-parole, le mandat vise à garantir que l’État et les contribuables ne soient pas laissés pour compte.

Le prix du service fourni par Alvarez & Marsal s’élève à CHF 8,7 millions et se compose d’une commande de base de CHF 2,95 millions et d’options d’un volume d’environ CHF 5,76 millions. Il y a dix jours, le ministère des Finances a confié au cabinet d’avocats Niederer Kraft Frey (NKF) un contrat de conseil pour la mise en œuvre contractuelle de la garantie. Le ministère des Finances paie jusqu’à 10,3 millions de francs suisses pour cela.

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