Customize this title in frenchLe Parlement israélien approuve le budget modifié pour 2024, donnant la priorité au financement de la guerre à Gaza

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Le parlement israélien a approuvé un budget d’État modifié pour 2024, allouant des fonds pour soutenir la campagne militaire israélienne contre le Hamas à Gaza. Cette décision intervient alors que le conflit avec le groupe islamiste palestinien entame son sixième mois.

Le budget approuvé, d’un montant total de 584 milliards de shekels (160 milliards de dollars), signifie une augmentation substantielle des dépenses de défense et des dispositions pour indemniser les ménages et les entreprises touchés par le conflit.

Le ministre des Finances, Bezalel Smotrich, a souligné les objectifs du budget modifié, en mettant l’accent sur la victoire dans la guerre, le renforcement du soutien des réservistes, la fortification du front intérieur et la promotion de la résilience économique dans des circonstances difficiles.

Un aspect crucial du budget modifié implique une révision du déficit, le déficit devant atteindre 6,6 pour cent du produit intérieur brut (PIB) en 2024, contre 2,25 pour cent avant la guerre.

Le déficit accru reflète la nécessité de financer les opérations militaires et de faire face aux répercussions multiformes d’un conflit prolongé.

Malgré les tensions budgétaires, le budget alloue également des fonds accrus à des secteurs essentiels tels que la santé, l’éducation, la police et la protection sociale.

Les ajustements budgétaires sont une indication de l’impact profond de la guerre à Gaza sur le cadre budgétaire israélien, nécessitant des modifications rapides et des engagements de dépenses accrus.

Une injection de 70 milliards de shekels, comprenant d’importantes allocations pour les besoins militaires et civils, indique la nécessité pour le gouvernement de répondre aux impératifs de sécurité immédiats et aux exigences sociétales aggravées par le conflit prolongé.

Cependant, le processus d’approbation du budget n’a pas été exempt de conflits politiques, notamment en ce qui concerne les allocations aux institutions religieuses convenues dans le cadre des accords de coalition précédents.

Des personnalités de l’opposition, dont le leader Yair Lapid, ont critiqué le budget comme étant « sectaire » et « irresponsable », déplorant ce qu’elles perçoivent comme une négligence des intérêts des citoyens ordinaires au profit de l’opportunisme politique.

Néanmoins, le gouvernement de coalition a poursuivi son programme budgétaire, visant à s’adapter à un paysage économique et politique complexe.

L’adoption du budget intervient dans un contexte de surveillance budgétaire accrue, l’agence de notation Moody’s ayant abaissé la note d’Israël à A2 le mois dernier.

Moody’s a cité les risques politiques et budgétaires importants découlant du conflit prolongé comme facteurs essentiels contribuant à la dégradation, soulignant les défis sans précédent auxquels est confrontée la stabilité économique d’Israël à la suite d’hostilités soutenues.

(Avec les contributions de Reuters)

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