Customize this title in frenchLe régulateur canadien va plafonner le nombre de prêts hypothécaires accordés aux emprunteurs très endettés

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© Reuter. Des maisons sont en construction dans un quartier d’Ottawa, Ontario, Canada le 17 avril 2023. REUTERS/Lars Hagberg

OTTAWA/TORONTO (Reuters) – L’organisme de réglementation bancaire du Canada a déclaré vendredi que les prêteurs devront limiter le nombre d’emprunteurs hypothécaires ayant des prêts à fort effet de levier dans leurs portefeuilles, alors que les Canadiens sont aux prises avec le fardeau d’une dette énorme dans un environnement économique difficile.

Dans un communiqué envoyé par courriel, le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) a annoncé qu’il plafonnerait le nombre de prêts hypothécaires qu’une banque peut prêter qui sont supérieurs à 4,5 fois le revenu annuel de l’emprunteur.

La mesure de prêt au revenu, ou LTI, s’applique à des banques individuelles et est conçue pour empêcher l’accumulation de prêts à fort effet de levier pendant les périodes de faibles taux d’intérêt, a déclaré le BSIF.

Les banques devront surveiller et gérer leur portefeuille de prêts hypothécaires souscrits chaque trimestre, ajoute le communiqué.

Le BSIF a déclaré qu’il avait examiné les modèles commerciaux des banques et que la limite de portefeuille, spécifique à chaque institution, ne lierait pas la méthode de souscription d’une banque en particulier.

« Cette approche permet aux institutions de continuer à rivaliser de la même manière qu’elles l’ont été dans le passé sur une base relative », a-t-il déclaré.

Le Globe and Mail, qui a été le premier à rapporter la nouvelle, a déclaré que le nouveau plafond de revenu devrait entrer en vigueur au premier trimestre de l’année prochaine, ajoutant qu’il ne s’appliquerait pas aux prêts assurés pour lesquels l’emprunteur doit payer une assurance hypothécaire en raison de son déficit. le paiement est inférieur à 20 % du prix d’achat du bien.

Le régulateur bancaire a déjà introduit de nouvelles règles, notamment un taux minimum admissible supérieur de 2 % au taux hypothécaire convenu par l’emprunteur, afin de garantir que les consommateurs puissent résister aux futures modifications des taux d’intérêt.

Les grandes banques canadiennes ont également mis de côté davantage de fonds pour couvrir les prêts qui pourraient potentiellement tourner au vinaigre depuis que la banque centrale a commencé à augmenter les taux d’intérêt et que le régulateur a exigé des banques qu’elles présentent une solide position de capital.

« Les banques au Canada travaillent depuis longtemps avec leurs clients pour maintenir leurs prêts hypothécaires en règle », a déclaré l’Association des banquiers canadiens, un groupe de lobbying de premier plan.

« Comprendre leurs clients et s’adapter à leur situation changeante est une priorité absolue. Le secteur évalue encore l’impact de la politique du BSIF.

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