Customize this title in frenchL’Espagnol Pedro Sánchez reconduit dans ses fonctions de Premier ministre

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Le chef du Parti socialiste espagnol, Pedro Sánchez, a prêté serment jeudi en tant que nouveau Premier ministre espagnol avec une majorité de 179 voix, y compris le soutien des partis séparatistes catalans et basques.

Le Partido Popular (PP/PPE), la principale force d’opposition, et le parti d’extrême droite Vox (ECR), ont voté contre (171 voix), réaffirmant qu’ils intensifieraient leur « résistance » démocratique à la controversée loi d’amnistie catalane, notamment en au niveau de l’UE, au Parlement européen.

La première séance du débat d’investiture de Sánchez (PSOE/S&D) a débuté mercredi avec des paroles dures du président de Vox, Santiago Abascal, qui a accusé Sánchez d’avoir « organisé un coup d’État » pour ses pactes avec les séparatistes catalans sur une loi d’amnistie pour gracier les personnes impliquées dans le Tentative sécessionniste de 2017 en Catalogne.

Il a en outre comparé Sánchez au dictateur nazi Adolf Hitler, a rapporté EFE.

Le porte-parole parlementaire du PSOE, Patxi López, a reproché jeudi au PP ses déclarations dures contre la loi d’amnistie et ses attaques contre le premier ministre, tout en demandant au parti de faire preuve de « modération » dans ses déclarations, qui le rapprochent de l’extrême droite. , il a dit.

« Ne continuez pas à nourrir la bête (de Vox), car elle finira par vous dévorer. Ne transformez pas votre frustration de ne pas avoir de gouvernement en invitations à la haine », a prévenu López : El País signalé.

« Légitime, démocratique et constitutionnel »

Dans son discours, Sánchez a déclaré qu’une nouvelle ère commençait désormais en Espagne, dans laquelle le gouvernement progressiste accorderait davantage d’attention à la « plurinationalité » de l’État. En guise de geste symbolique, il a remercié dans les langues co-officielles (basque, catalan/valencien et galicien) les partis nationalistes et séparatistes qui l’ont soutenu.

Le nouveau Premier ministre a souligné que son investiture était « légitime » et a souligné qu’un gouvernement « légitime, démocratique et constitutionnel » en émergerait, et a appelé le PP à admettre sa « défaite » après les élections anticipées du 23 juillet, ont rapporté la radio publique et télévision RTVE signalé.

Comme prévu, Sánchez a obtenu le soutien des partis séparatistes catalans Ensemble pour la Catalogne (JxCat) et de la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), des partis indépendantistes basques PNV (nationaliste modéré) et EH Bildu (nationaliste d’extrême gauche), du parti régional le parti Coalición Canaria (Îles Canaries) et la formation régionale Bloque Nacionalista Gallego (BNG, Galice).

Vox, qui a poursuivi Sánchez en justice cette semaine pour des délits présumés de « coopération avec le terrorisme » liés à la future loi d’amnistie, est la troisième force parlementaire et gouverne avec le PP dans plusieurs régions et municipalités.

Cependant, le soutien des séparatistes catalans et basques, qui assureront la stabilité pendant la législature de quatre ans – y compris l’approbation du budget national – n’est pas « gratuit ».

La semaine dernière, le leader de JxCat et ancien président catalan Carles Puigdemont, en exil en Belgique après les graves événements de 2017, a prévenu Sánchez qu’il surveillerait de près, à travers plusieurs commissions de contrôle et un « médiateur international », que son (droite) le pacte du parti séparatiste avec le PSOE est pleinement respecté.

Sánchez avait besoin du « oui » des sept députés JxCat au Parlement pour revenir au pouvoir.

Frayeur de dernière minute par les Catalans

Le suspense a été présent jusqu’aux derniers instants, sans aucune certitude quant à savoir si JxCat voterait en faveur de l’investiture de Sánchez ou s’abstiendrait, après le mécontentement suscité au sein du parti de Puigdemont lorsque le premier ministre a qualifié mercredi la loi d’amnistie de « pardon ». pour des crimes que – de l’avis des séparatistes catalans – ils n’ont pas commis.

Enfin, la porte-parole de JxCat au Parlement, Míriam Nogueras, a confirmé quelques heures seulement avant le vote de jeudi que le parti séparatiste voterait « oui ». Le périodique de Catalogne, signalé.

« Nous respectons les accords que nous avons conclus. Il y a des mois, nous avons commencé les négociations [with the PSOE] cela se poursuit aujourd’hui, et l’investiture (…) n’est qu’un des points de l’accord que nous avons signé », a déclaré Nogueras à la radio catalane. CAR1.

Par ailleurs, le porte-parole d’EH Bildu au Parlement, Mertxe Aizpurua, a averti Sánchez que le parti [with its six seats] Il le soutient « sans jeux, spéculations, menaces ou avertissements » mais que son soutien est en échange d’avancées dans davantage de compétences depuis Madrid jusqu’au Pays Basque.

Il ne s’agit pas d’un « chèque en blanc », a-t-elle souligné.

Le premier gouvernement de Sánchez a fonctionné de juin 2018 à janvier 2020. À cette époque, son partenaire de coalition était Unidas Podemos (Gauche européenne), alors dirigé par Pablo Iglesias, qui était l’un de ses vice-présidents et ministre des Droits sociaux.

Son deuxième mandat s’est déroulé entre 2020 et juillet 2023, lorsque des élections générales anticipées ont eu lieu.

Le gouvernement « Sánchez III », en coalition avec la plate-forme progressiste Sumar, a officiellement pris ses fonctions jeudi.

[Edited by Nathalie Weatherald]

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