Customize this title in frenchL’UE invitée à suspendre les tarifs douaniers post-Brexit sur les véhicules électriques

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S’ils sont mis en place, ces droits de douane pourraient coûter 4,3 milliards d’euros aux constructeurs automobiles européens au cours des trois prochaines années, selon l’ACEA.

L’UE doit agir rapidement pour reporter les règles post-Brexit qui imposeraient des droits de douane de 10 % sur les véhicules électriques échangés entre le bloc et le Royaume-Uni, a exhorté le groupe de l’industrie automobile européenne.

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L’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA) dit lundi que les droits de douane, s’ils étaient mis en place, pourraient coûter 4,3 milliards d’euros aux constructeurs automobiles européens au cours des trois prochaines années, entraînant une chute de la production de véhicules électriques d’environ 480 000 unités.

« Faire augmenter les prix à la consommation des véhicules électriques européens, au moment même où nous devons lutter pour des parts de marché face à une concurrence internationale féroce, n’est pas la bonne décision, ni d’un point de vue commercial ni d’un point de vue environnemental », a déclaré Luca de Meo, ACEA Président Directeur Général du Groupe Renault. « Nous allons effectivement céder une part du marché aux fabricants mondiaux. »

Dans le cadre de l’accord commercial post-Brexit, les véhicules électriques doivent contenir 45 % de composants européens ou britanniques à partir de janvier 2024, ou 50 à 60 % dans le cas des cellules et des packs de batteries. Dans le cas contraire, des droits d’importation de 10 % seront imposés vers le Royaume-Uni ou l’UE.

L’ACEA a déclaré que ni les constructeurs automobiles britanniques ni ceux de l’UE n’ont suffisamment développé leurs chaînes d’approvisionnement en véhicules électriques pour répondre aux nouvelles exigences, d’où son appel au report des nouvelles règles à 2027.

« L’Europe devrait soutenir son industrie dans la transition vers le zéro net comme le font d’autres régions – et non l’entraver », a déclaré de Meo. « Il existe une solution très simple et directe : prolonger de trois ans la période d’application progressive actuelle des règles relatives aux batteries. Nous exhortons la Commission à faire ce qu’il faut.

Un porte-parole de la Commission européenne n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires.

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