Customize this title in frenchMacron va faire face à des maux de tête pour tenter d' »élargir » la majorité parlementaire

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Alors que le président français Emmanuel Macron cherche à renforcer le soutien parlementaire face à la crise politique, certains politiciens font pression pour une coalition formalisée entre la majorité présidentielle et la droite Les Républicains (LR).

Lire l’article original en français ici.

Les retombées de la réforme des retraites ont démontré que la majorité relative de Macron – 250 députés – nécessite un certain compromis avec l’opposition et n’est pas suffisante pour un gouvernement en douceur.

Une majorité absolue, soit 289 députés à l’Assemblée nationale, faciliterait le travail du gouvernement, qui doit aujourd’hui trouver des majorités au cas par cas. Cela comporte des risques, comme le montre la réforme des retraites, qui a été adoptée sans vote en vertu des pouvoirs constitutionnels du gouvernement – ​​déclenchant une crise politique majeure.

En effet, lundi, le gouvernement du Premier ministre Macron Elisabeth Borne a survécu à une motion de censure par une marge de seulement neuf voix après que le gouvernement a utilisé un mécanisme constitutionnel pour contourner l’Assemblée nationale en faisant passer sa réforme des retraites. Les manifestants et les syndicats de tout le pays ont déclaré que, par conséquent, le gouvernement avait perdu sa légitimité démocratique.

Pour raffermir le soutien politique au gouvernement macroniste, certains chefs de file de la majorité présidentielle et de la droite (LR) ont suggéré que les deux familles politiques affirment une alliance en concluant un accord de coalition.

La droite doit prendre ses responsabilités et construire les conditions d' »un accord politique pour rectifier, transformer et réformer ce pays », a déclaré Rachida Dati, maire du 7e arrondissement de Paris, ancienne ministre de la justice et membre du conseil stratégique LR. France-Culture Samedi.

L’ancien chef de file de LR, Jean-François Copé, pousse l’idée depuis les élections législatives de juin 2022. Il a réitéré sa position lors d’une réunion du conseil stratégique du parti, mardi 21 mars.

Du côté de la majorité présidentielle, on entend aussi des appels à l’officialisation d’un contrat de coalition, comme le député Renaissance et président de la commission des affaires économiques Guillaume Kasbarian, qui a expliqué cette nécessité à EURACTIV.

« Nous avons besoin d’une coalition de priorités pour élargir notre base politique au-delà de la majorité actuelle […] même si je vois les difficultés », a déclaré Edouard Philippe, ancien Premier ministre et président du parti Horizons, partenaire de la majorité présidentielle.

Dans un système parlementaire comme la France « quand on n’a pas la majorité absolue, il faut en construire une », a-t-il déclaré dans une interview à Le Figaro mardi.

Difficile de trouver un accord

Mais l’alliance LR avec le parti semble impossible à ce stade, puisque 19 des 61 députés LR ont voté en faveur du renversement du gouvernement lors du vote de censure raté en début de semaine.

Pourtant, le camp présidentiel a « cherché à élargir la majorité relative depuis le début de la législature », a déclaré le député de la Renaissance Sylvain Maillard à EURACTIV – bien que cela ait été rejeté par les républicains.

Choisir Éric Ciotti, l’homme qui a en partie fait campagne contre Macron, en tant que chef du parti, renforce encore la position du parti contre la majorité au pouvoir, rappelle un autre député de la Renaissance.

Du côté des macronistes, des hésitations subsistent quant à un virage plus à droite. L’accord augmenterait la probabilité qu’un candidat de droite soit proposé comme prochain Premier ministre – une décision qui pourrait aliéner le côté gauche de la majorité au pouvoir.

« C’est une question qui se pose », a reconnu le député de la Renaissance Kasbarian.

Appel aux particuliers

Une autre façon pour Macron de consolider sa base de soutien serait de faire appel à des individus au Parlement pour officialiser leur alliance avec son groupe.

Dans une interview télévisée mercredi 22 mars, Macron a déclaré avoir demandé à sa première ministre, Elisabeth Borne, « d’élargir la majorité » avec « des personnalités politiques qui, avec leurs convictions, sont prêtes à travailler avec la majorité » autour d’un programme gouvernemental. .

Le député d’Horizons Philippe a déclaré qu’il souhaiterait qu’un tel élargissement soit également ouvert aux élus de gauche déçus par la NUPES.

A droite, un député – non pro-Macron – a assuré à EURACTIV qu’« il faut prendre le temps de réfléchir, sans décréter à l’avance » s’il faut rester dans l’opposition ou soutenir un projet gouvernemental.

« On n’a pas une culture politique de coalition comme les Allemands », mais « on ne pourra pas tenir en avançant texte par texte et il nous reste encore quatre ans », a-t-il dit, peu convaincu par la perspective. de dissolution.

La Primature a indiqué à l’AFP qu’elle « mènera des consultations avec les forces politiques » pour « définir le calendrier parlementaire des mois à venir et identifier les majorités texte par texte ».

Les voisins divisés sur la réforme des retraites de Macron

La crise politique à laquelle le président français Emmanuel Macron et son gouvernement sont confrontés après avoir fait adopter une réforme des retraites très impopulaire a provoqué des réactions de la part des politiciens de l’Italie et de l’Allemagne voisines, certains suggérant que la France devrait revoir des éléments de sa constitution, …

[Edited by Nathalie Weatherald]



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