Customize this title in frenchSommet britannique sur l’IA : que peut-il réaliser ?

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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Des mots sur l’intelligence artificielle sont visibles dans cette illustration prise le 31 mars 2023. REUTERS/Dado Ruvic/Illustration/File Photo

Par Martin Coulter

LONDRES (Reuters) – La Grande-Bretagne accueillera cette semaine le premier sommet mondial sur la sécurité de l’intelligence artificielle (IA) pour examiner les risques liés à cette technologie à croissance rapide et lancer un dialogue international sur sa réglementation.

Elle aura lieu à Bletchley Park – où travaillaient les décrypteurs britanniques de la Seconde Guerre mondiale – dans le sud de l’Angleterre, les 1er et 2 novembre.

Voici ce que nous savons du rassemblement :

QUI Y VA?

Les organisateurs ont déclaré à Reuters qu’il y aurait environ 100 invités, parmi lesquels des dirigeants mondiaux, des dirigeants d’entreprises technologiques, des universitaires et des organisations à but non lucratif. La liste complète des invités n’a pas été rendue publique.

Certains dirigeants mondiaux – dont le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre canadien Justin Trudeau – ne seront pas présents, mais la vice-présidente américaine Kamala Harris, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le vice-ministre chinois de la technologie Wu Zhaohui et le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres. volonté.

La présence de la Chine est un autre signe du dégel des relations avec la Grande-Bretagne, après la visite à Pékin de son plus haut diplomate, James Cleverly, en août, lors du premier voyage d’un ministre britannique des Affaires étrangères en cinq ans.

Des dirigeants des sociétés d’IA les plus connues au monde, notamment Demis Hassabis, PDG de Google (NASDAQ 🙂 Deepmind, et Sam Altman, fondateur de ChatGPT, le créateur d’OpenAI, soutenu par Microsoft (NASDAQ :), seront également présents. Des représentants de Alibaba (NYSE 🙂 et Tencent seront là.

L’entrepreneur milliardaire Elon Musk se joindra à l’événement.

Les universitaires et les organisations à but non lucratif, qui ont mis en garde contre le risque d’essor de l’IA, joueront également un rôle de premier plan, représentés par les « parrains » de l’IA tels que Stuart Russell et Geoffrey Hinton, aux côtés de l’Institut Alan Turing et du Future of Life Institute.

DE QUOI SERA DISCUTÉ ?

L’objectif du sommet est d’entamer une conversation mondiale sur la future réglementation de l’IA.

Il n’existe actuellement aucune réglementation mondiale de grande envergure axée sur la sécurité de l’IA, bien que certains gouvernements aient commencé à élaborer leurs propres règles. Par exemple, l’Union européenne a rédigé le premier ensemble de lois régissant son utilisation pour le bloc.

Selon l’ordre du jour du sommet, il y aura une série de tables rondes sur les menaces posées par les futurs développements technologiques.

Les sujets abordés incluent la manière dont les systèmes d’IA pourraient être transformés en armes par des pirates informatiques ou utilisés par des terroristes pour fabriquer des armes biologiques, ainsi que le potentiel de la technologie pour acquérir de la sensibilité et faire des ravages dans le monde.

Les experts et les régulateurs semblent divisés sur la manière de donner la priorité à ces menaces, la loi européenne sur l’IA tant attendue donnant la priorité aux violations potentielles des droits de l’homme – telles que la confidentialité des données et la protection contre la surveillance – par rapport aux soi-disant risques existentiels qui dominent une grande partie de l’ordre du jour du sommet. .

POURQUOI CELA SE PASSE-T-IL MAINTENANT ET AU ROYAUME-UNI ?

Le Premier ministre britannique Rishi Sunak souhaite que la Grande-Bretagne devienne un leader mondial en matière de sécurité de l’IA, se taillant un rôle après le Brexit entre les blocs économiques concurrents que sont les États-Unis, la Chine et l’Union européenne.

L’événement survient près d’un an après qu’OpenAI a rendu public le chatbot ChatGPT basé sur l’IA, déclenchant des débats internationaux sur le potentiel de cette technologie en développement rapide, certains experts la comparant au changement climatique ou aux armes nucléaires.

QUE VA-T-IL RÉALISER ?

À la clôture du sommet jeudi, Sunak devrait prononcer un discours décrivant ce sur quoi les participants se sont mis d’accord, avant de rejoindre Musk pour une discussion en direct qui sera diffusée sur X.

Un récent rapport du Financial Times indique que Sunak envisage de lancer un conseil consultatif mondial pour la réglementation de l’IA, sur le modèle du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).

Lorsque Sunak a annoncé la tenue du sommet en juin, certains se sont demandé dans quelle mesure la Grande-Bretagne était bien équipée pour diriger une initiative mondiale sur la réglementation de l’IA.

Depuis lors, le président américain Joe Biden a publié un décret régissant l’utilisation de l’IA dans tout le pays, l’UE est sur le point d’adopter sa propre loi sur l’IA et le G7 a adopté son propre code de conduite pour les entreprises utilisant cette technologie.

La semaine dernière, l’ONU a annoncé qu’elle avait formé son propre conseil consultatif sur l’IA, composé de quelques experts de l’industrie, de la recherche et de différents gouvernements.

Mais les défenseurs estiment que la Grande-Bretagne a un rôle à jouer en tant qu’intermédiaire entre les trois grands blocs de puissance du monde – les États-Unis, l’UE et la Chine – et espèrent que le sommet jettera les bases d’un futur dialogue international sur la question.

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