Customize this title in frenchTrois morts dans une frappe de drone sur un aérodrome du Kurdistan irakien (communiqué)

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Arbat (Irak) (AFP) – Trois membres des forces antiterroristes du Kurdistan irakien ont été tués lundi dans une frappe de drone qui a touché un aérodrome près de Sulaimaniyah, ont indiqué les services antiterroristes de la région autonome du nord dans un communiqué.

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« Malheureusement, l’attentat a tué trois de nos camarades peshmergas des services antiterroristes » et en a blessé trois autres, précise le communiqué, sans identifier les commanditaires de l’attaque.

La frappe de drone a visé les forces antiterroristes sur l’aérodrome d’Arbat, au sud-est de Sulaimaniyah, qui est principalement utilisé par les avions de pulvérisation des cultures.

Une « enquête approfondie » a été ouverte sur ce « crime terroriste commis par des fonctionnaires étrangers et des espions locaux », ont indiqué les services antiterroristes.

« Pour protéger l’enquête, nous préserverons la confidentialité des informations. À l’avenir, nous révélerons la vérité au peuple du Kurdistan », ajoute-t-il.

Les attaques contre les forces de sécurité du Kurdistan sont rares.

Dimanche, une frappe de drone turc dans le nord de l’Irak a tué au moins quatre membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), dont un haut responsable, ont annoncé les autorités kurdes irakiennes.

La Turquie a installé des dizaines de bases militaires au Kurdistan irakien au cours des 25 dernières années pour lutter contre ce groupe.

En avril 2023, l’Irak a accusé la Turquie d’avoir mené un « bombardement » à proximité de l’aéroport de Sulaimaniyah, la deuxième plus grande ville du Kurdistan.

La frappe a eu lieu alors que des soldats américains et le commandant des Forces démocratiques syriennes, une coalition alliée aux États-Unis et dominée par les Kurdes, étaient à l’aéroport.

L’armée turque commente rarement ses frappes en Irak mais mène régulièrement des opérations militaires contre les bases arrière du PKK au Kurdistan autonome ainsi que dans le district de Sinjar.

L’Iran a également mené des frappes contre le Kurdistan irakien.

Il y a un an, Téhéran a bombardé à plusieurs reprises les positions de divers groupes d’opposition kurdes iraniens accusés d’être impliqués dans les manifestations qui ont éclaté en Iran après la mort en détention de Mahsa Amini, une jeune femme kurde iranienne.

Bafel Jalal Talabani, chef de l’Union patriotique du Kurdistan (UPK) au pouvoir à Sulaimaniyah, a condamné « l’attaque terroriste » de lundi.

« Face aux violations répétées, il est du devoir de tous les partis politiques du Kurdistan de faire face ensemble aux menaces et aux défis sécuritaires et de protéger le Kurdistan de ses ennemis », a-t-il déclaré dans un communiqué.

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