Customize this title in frenchUn homme accusé d’agression après avoir été libéré d’un centre de détention pour immigrants après une décision de la Haute Cour

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Un homme libéré de détention pour immigrants en vertu d’une récente décision de la Haute Cour a été arrêté et accusé d’attentat à la pudeur.

Aliyawa Yawari résidait initialement à Thornlie, à Perth, après avoir été libérée du centre de détention pour immigrants de Yongah Hill, en Australie occidentale, il y a environ trois semaines.

Ce week-end, l’homme de 65 ans a été arrêté dans un hôtel de Pooraka, dans la banlieue d’Adélaïde, après un rapport selon lequel une femme avait été agressée à la pudeur par un invité.

Aliyawa Yawari a été arrêtée et accusée d'attentat à la pudeur.
Aliyawa Yawari a été arrêtée et accusée d’attentat à la pudeur. (9Actualités)

Yawari, qui a des antécédents d’infractions sexuelles, a été inculpé de deux chefs d’attentat à la pudeur et s’est vu refuser la libération sous caution par la police.

Il a comparu brièvement devant le tribunal de première instance d’Adélaïde lundi et s’est de nouveau vu refuser la libération sous caution.

L’homme de 65 ans était l’une des quelque 140 personnes libérées après que la Haute Cour a jugé que la détention pour une durée indéterminée était illégale lorsqu’il n’y avait aucune chance qu’elles soient expulsées dans un avenir raisonnablement prévisible.

Le gouvernement fédéral a approuvé lundi de nouvelles modifications de la loi sur l’immigration.

Il a été libéré du centre de détention pour immigrants de Yongah Hill, en Australie occidentale, le mois dernier.
Il a été libéré du centre de détention pour immigrants de Yongah Hill, en Australie occidentale, le mois dernier. (9Actualités)

Les nouvelles ordonnances ne s’appliqueront qu’aux non-citoyens ayant commis des « délits graves, violents ou sexuels » passibles de plus de sept ans de prison.

« Approximativement 140 personnes ont été libérées en raison de la décision de la Haute Cour », a déclaré l’avocate des droits humains Alison Battisson.

« J’estime que très, très peu d’entre eux feraient l’objet d’une demande et qu’un nombre encore plus restreint serait jugé par un juge comme devant être soumis à une détention préventive.

« Je pense que nous parlons d’un chiffre à un chiffre. »

Le chef de l’opposition Peter Dutton, qui a vivement critiqué la libération des détenus, a reconnu qu’il était peu probable que ces amendements s’appliquent à bon nombre de ceux récemment libérés.

« La triste réalité de leur inaction, de leurs insuffisances, de leur désespoir, c’est que certains de ces délinquants risquent de récidiver », a-t-il déclaré lundi.

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