De nouvelles règles de commerce électronique pourraient bloquer les ventes basées sur les stocks


NEW DELHI : une politique de commerce électronique mise en place par le gouvernement devrait mettre fin aux ventes basées sur les stocks sur des plateformes telles que Amazone et Flipkart, ainsi que ceux mis en place par des entreprises nationales, tout en cherchant également à mettre fin à la pratique consistant à offrir des incitations spéciales pour l’utilisation d’un service de paiement particulier.
La politique, qui était en chantier depuis plusieurs mois, a été relancée avec des consultations interministérielles sur la question qui ont débuté au cours des dernières semaines. Contrairement à la dernière fois, lorsque les hurlements de protestation des géants du e-commerce incitaient le gouvernement à ralentir, cette fois, le département de la consommation agit avec prudence pour s’assurer qu’il n’y a pas de perturbations. En fait, au cours des derniers mois, il a déjà résolu certains des problèmes auxquels sont confrontés les consommateurs, tels que ceux liés aux avis sur les produits et le traitement des réclamations pour la vente de produits défectueux.

Dans l’étape suivante, l’idée est de s’assurer que les places de marché électroniques, tant nationales qu’étrangères, ne recourent pas à l’utilisation de modèles basés sur l’inventaire pour vendre leurs produits. Une précédente note de presse émise par la direction de la promotion de l’industrie et du commerce intérieur (DPIIT) donnerait une marge de manœuvre aux plateformes, qu’on cherche désormais à contrôler. Entre le DPIIT et les affaires de consommation, le gouvernement dispose de données suggérant que certaines des places de marché électroniques recouraient à l’utilisation d’un modèle basé sur l’inventaire, acheminant les produits entre leurs propres tenues, où elles détenaient des actions. Ces pratiques sont appelées à être contrôlées.
Alors que Flipkart et Amazon s’agitent déjà à propos de la dernière décision, des sources gouvernementales ont déclaré à TOI que ces plates-formes devaient fonctionner comme des centres commerciaux et non comme des magasins, fonctionnant sous l’apparence d’un centre commercial. Des sources officielles ont indiqué qu’il y aura des exclusions pour les entreprises du secteur des services dans le nouveau régime.
En outre, des contrôles seront imposés pour s’assurer qu’en matière de paiements, tant du côté des acheteurs que des vendeurs, aucun statut privilégié n’est accordé à certaines entités. Cette décision devrait toucher des entreprises telles qu’Amazon, qui offrent des avantages aux consommateurs utilisant Amazon Pay. Tous les acteurs financiers embarqués par les acteurs du e-commerce doivent bénéficier du même traitement.
Cette décision intervient à un moment où le DPIIT pilote également le déploiement d’Open Network pour Commerce numérique (ONDC), qui vise à démocratiser la vente en ligne pour les consommateurs comme pour les petits vendeurs.





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