La revue Unthanks: Sorrows Away – du lourd au aérien | Les remerciements


Le groupe Tyneside s’est assuré une position enviable parmi les groupes folk britanniques : aimé des fidèles mais reconnaissable pour les auditeurs occasionnels. Une grande partie est due en partie aux harmonies fraternelles distinctives des sœurs Rachel et Becky et à la tradition de Northumbrian qu’elles défendent, qu’il s’agisse d’histoires de gangs de presse de la Royal Navy ou d’hommages au passé industriel de la région; ici, par exemple, Rachel a une chanson originale intitulée The Isabella Colliery Coke Ovens. Le groupe a joué sa main habilement d’autres manières, apportant des arrangements ambitieux à leur travail – une sortie avec le Royal Liverpool Philharmonic Orchestra inclus – et explorant ce qu’on appelle « Diversions » – des albums de chansons du chantier naval, Robert Wyatt, Molly Drake; un autre avec le Brighouse and Rastrick Brass Band – plus des bandes sonores pour le favori de la télévision pour enfants remanié Worzel Gummidge.

The Unthanks ne faiblit pas sur ce qui est leur premier « véritable » album en sept ans, bien que les neuf minutes de la Sandgate Dandling Song, une ballade victorienne sur la violence domestique, penchent vers le lourd. Ils sont meilleurs dans les airs, comme sur The Old News ou Royal Blackbird, une chanson jacobite dotée d’un arrangement de violon enjoué. Le très chanté Waters of Tyne est une vedette évidente, tout comme la chanson titre, qui est devenue un hymne de la tournée en cours du groupe.



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